1. J'en ai rêvé et je l'ai fait


    Datte: 07/11/2019, Catégories: hh, hhh, couleurs, inconnu, grossexe, forêt, parking, facial, Oral hdanus, hsodo, Partouze / Groupe init, confession, inithh, Gay Auteur: Histochris, Source: Revebebe

    ... dans ce bois et laisse-toi aller à tes bas instincts.
    
    Je franchis la lisière et l’homme m’accueillit avec un grand sourire.
    
    — Mets-toi à l’aise. Mets-toi nu. Laisse ton corps s’exprimer.
    
    Sans réfléchir, je retirai mes vêtements. Je bandais fort et l’homme regarda ma queue.
    
    — Suis-moi, dit-il en s’enfonçant plus loin dans la pinède.
    
    Très excité et inquiet en même temps, j’avais l’impression de pénétrer une forêt magique.
    
    Mon guide avait de belles fesses bronzées et lisses. Nous marchâmes cinq minutes et enfin arrivâmes dans une petite clairière. Le soleil avait percé les nuages et inondait cette trouée sableuse. Au milieu de la clairière il se tourna vers moi. Il tenait sa queue en main.
    
    — Tu te branles ?
    — Ça m’arrive, oui.
    — Tu l’as déjà fait avec quelqu’un ?
    — Avec ma femme.
    — Un homme ?
    — Non.
    
    Il s’approcha et lâcha sa belle queue qui resta pointée vers moi.
    
    — Tu as déjà touché une queue ? murmura t-il.
    — Non, jamais.
    
    Inconsciemment, je me trouvais ramené à une position d’adolescent timide face à sa première conquête.
    
    — Vas-y, poursuivit-il, ce n’est pas difficile : tu fais comme quand tu te branles. Montre-moi. Allez !
    
    Je fis alors ce dont je rêvais depuis des années : je pris sa bite tendue en main. Il me regardait tranquillement.
    
    — Ça t’excite, non ?
    — Oui, c’est bon.
    — Continue, laisse-toi aller à tes envies.
    
    Les doigts enroulés autour de son pieu de chair, je le branlais. Sa queue me remplissait la main. Il gémit ...
    ... doucement, juste pour me prouver combien c’était bon.
    
    — Voilà, c’est parfait. Va doucement, nous avons tout le temps.
    
    Debout contre lui, mon gland frôlant parfois la peau de son ventre, je me laissais aller totalement et le caressais avec délicatesse.
    
    — Tu vois, il suffisait de se lancer. Crache sur moi : c’est bon, une branle bien glissante.
    
    Comme j’aimais également enduire mon sexe de salive pour me caresser, je m’exécutai sans hésiter, crachant abondamment dans ma main avant de reprendre sa bite pour la caresser.
    
    Il gémit au contact glissant de ma main et se mit à donner de petits coups de reins.
    
    — C’est délicieux ce que tu me fais, souffla-t-il. Es-tu aussi habile avec ta bouche ?
    
    Je marquai un temps d’arrêt. Il sourit.
    
    — Tu n’as jamais eu envie de sucer ?
    — Si.
    — Alors tu ne veux pas essayer aujourd’hui ?
    
    J’hésitai une minute puis me lançai. Je m’agenouillai devant lui, et sans réfléchir à ce que je faisais j’avalai aussitôt son sexe.
    
    — Ouiiiii, dit-il en me prenant la tête, c’est bon.
    
    Je m’activais avec une passion augmentée par des années de fantasmes tus. Je passai une main sur ses belles fesses lisses pour l’attirer plus loin dans ma gorge.
    
    — Tu es une délicieuse salope… Quel talent !
    
    Il se mit à me baiser la bouche et je le laissai faire. J’aimais sa façon de m’imposer son désir, que je sentais très fort. Depuis mon adolescence, je rêvais à ce genre d’étreinte homosexuelle avec de la domination ; j’étais servi.
    
    — Tu sais quoi ? ...
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