1. La punition de la directrice (1)


    Datte: 07/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... là-dessus.
    
    Je devais me calmer, essayer d’être civil.
    
    Mais quand cette dame arriva enfin, elle me fit mauvaise impression. J’aurais pu commencer la visite avant (et l’inspection, non officielle) sans elle, avec ses subalternes.
    
    Mais cela aurait semblé un peu arrogant et discourtois de ma part, même si j’en avais le pouvoir. J’avais à cœur de respecter la fonction de cette personne que je ne connaissais pas et j’avais préféré attendre.
    
    Or, elle ne s’excusa même pas, pensant sans doute que vingt minutes de retard, ça n’est pas du retard. Elle fut seulement surprise de me voir ici, montrant qu’elle s’attendait à un retard de ma part.
    
    Elle avait été eue, ça commençait mal pour elle.
    
    Je ne lui fis aucune remarque acerbe, je ne suis pas comme ça. En retour, je n’eus même pas droit à un sourire.
    
    C’était une Canadienne qui était arrivée en France depuis moins de trois ans (ce que je sus plus tard), avec l’accent qui allait avec, et une superbe à toute épreuve. Même si la situation la mettait mal à l’aise, elle semblait limite prétentieuse, se retenant – c’était flagrant – pour ne pas me prendre de haut (s’imaginant sans doute qu’on fait tout mieux au Canada, ou que sais-je...)
    
    C’était une brune, cheveux mi-longs, milieu de quarantaine, qui devait avoir l’habitude de marcher toujours vite, assez cambrée, faisant ressortir une croupe à la belle forme bien épanouie, comme si elle voulait prouver qu’elle était « énergique », mais très femme.
    
    ° ° °
    
    Je suis ...
    ... arrivée en retard à ce rendez-vous de crise suite à un problème dans un autre de mes centres. En cette saison de grippe, tant de gens sont malades que tout devient plus difficile.
    
    Cela me met de mauvaise humeur, car je sais que beaucoup ne sont pas malades, mais se servent de ce prétexte pour rester au chaud. J’arrive de mauvaise humeur donc.
    
    Je suis vêtue d’une tenue sobre, mais comme à mon habitude plutôt remarquable. Ma robe noire moulante montre bien mes formes, une robe un peu sage et sérieuse au premier abord, mais ce sérieux est compensé par des bottes de luxe en cuir. Galbant bien mes jambes et avec des talons aiguilles de 8 centimètres, elles attirent le regard.
    
    Je me retrouve donc face à l’inspecteur de l’A. R. S., lui aussi de fâcheuse humeur. J’essaie de me calmer et d’être plus polie, mais je crois que mon attitude hautaine du départ va marquer notre relation.
    
    Nous marchons dans les couloirs et je sens son regard sur mes fesses qui roulent bien dans cette robe serrée. En une heure, il trouve un dossier avec la preuve que les employés du Centre donnaient du lait, et même des médicaments ainsi que d’autres produits périmés, qui auraient dû être retirés.
    
    Bien sûr, cela n’est pas ma faute, mais toute la responsabilité va me tomber dessus.
    
    Je pense qu’un employé du centre a falsifié les informations pour se venger. Peu importe, je suis foutue. Non seulement mon emploi est foutu, mais je risque la prison.
    
    J’essaie de rester calme et de trouver des ...
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