Police polissonne (11)
Datte: 06/11/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... elle est dans une configuration similaire à la réalité. Le but est qu’elle prenne confiance et elle et donc de la rassurer. Elle se place sur le tapis et Fred à 5 mètres de distance, il vise et tire avec la même arme et le même type de munitions qu’utilisera Marc. L’impact de la balle la fait basculer, elle se réceptionne à merveille et s’étend face contre terre, les bras en l’air et reste immobile.
— C’est parfait Sonia, tu joues parfaitement ton rôle ; tu n’as pas trop mal ?
— Non ça va, ça tape un peu fort mais ça va aller.
— OK, tu refais la même chose tout à l’heure et’le Boss’ n’y verra que du feu, allez, rhabille-toi et on va à l’IJ pour que tu te changes.
Une fois arrivés à l’IJ, c’est Anne qui les accueille :
— Ah, Sonia ! Comment vas-tu ma chérie ? dit-elle en leur faisant la bise.
— À part le trac tout va bien.
— T’inquiète, tu vas assumer grave ; viens avec moi. Fred tu nous attends ici ?
— Je vais prendre un café, appelle-moi dès qu’elle est prête.
Anne accompagne Sonia dans le cabinet où elle a passé sa visite médicale. À la vue de la table d’auscultation, les souvenirs des bons moments passés avec Anne et Pierre lui reviennent à l’esprit ; Anne lui lance un joli sourire complice et dit :
— Déshabille-toi, tu enlèves tout sauf la culotte.
— Mais je n’en ai pas, il paraît que je dois être à poil dessous la robe pour qu’on voie mes fesses quand je vais me casser la gueule.
— Ah oui c’est vrai, j’avais oublié ; tu sais que ...
... toute la France va te voir à poil ou presque ?
— Oui, je sais et puis ça me plaît, dit Sonia en se mettant nue.
— Tu es toujours aussi belle…Humm…Si on avait un peu de temps je…
— Dommage qu’on n’a pas le temps, car j’aurais bien aimé un câlin moi aussi ?
— Oui, mais on n’a pas le temps ; mais sois tranquille on remettra ça bientôt.
— Cool, au fait ; tu es lesbienne alors ?
— Non bi et puis je suis mariée.
— Ah, et avec qui, si ce n’est pas indiscret ?
— Avec Pierre tout simplement, nous sommes très libertins et j’espère que tu n’as pas cru un seul instant à cette méthode d’interrogatoire ?
— Bah, si …
— Tu as eu tort, car nous t’avons trouvée tellement craquante qu’on a voulu s’amuser un peu. Par contre nous avons été surpris que, grâce à ce subterfuge, tu parles de choses que tu ne voulais dire à personne. Du coup je suis en train d’étudier ça plus en profondeur, avec Pierre.
— Ah bon ! Eh bien c’était super-cool en tout cas ; j’ai vachement aimé. Je veux bien moi aussi participer à approfondir le sujet ; si tu vois ce que je veux dire.
— Avec plaisir ! Allez ; enfile ça.
Sonia passe la minirobe sans manches, à fleurs printanières sur fond blanc ; les poches de sang ont été cousues à l’intérieur. Anne vérifie que rien ne puisse trahir leur présence et complimente Sonia :
— Parfait, tu es super-jolie là-dedans ; dommage que le toubib la mette en pièces dans pas longtemps. Bien, et évite de te cogner pour ne pas crever les poches, ...