1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (7)


    Datte: 06/11/2019, Catégories: Transexuels Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... coups de reins étaient plus bestiaux. Il me tenait par les hanches.
    
    — Prend ça salope. Sale chienne....
    
    Je regarde vers Malika. Elle est à quatre pattes sur la table et se fait des shooter de mon jus. Elle me regarde avec envie, avec amour. Émile n’est plus là. Ah, si, il est un peu plus loin en train de prendre sa fille en levrette. Cela m’étonne à peine. Un homme approche de Domi, queue dressée. Elle le gobe jusqu’à la garde. Je le regarde. C’est le frérot ! Mais qui me sodomise alors ? Je me retourne et un très jeune type me défonce comme un beau diable. Il est en laisse. La dame qui le tient n’est autre que la plantureuse cliente de Domi. Je la regarde. Elle me fait un clin d’œil et boit une gorgée d’élixir. Une forte odeur de sperme, de cyprine et de transpiration remplit la salle. Tout n’est que luxure et dépravation. Je me doute que je suis le centre de toute cette perversité. Pas violente, non, juste surréaliste. On place une petite estrade devant moi. Je regarde plus attentivement. Non, c’est un prie-Dieu en Skaï rouge. Une femme vient se positionner dos à moi, s’agenouille et s’appuie sur ses avant-bras. Une danseuse guide mon sexe vers sa chatte. La femme s’empale sur mon sexe et exulte, jouit instantanément. Une dizaine d’allers-retours puissants faisant claquer ses fesses sur mon ventre et je jouis. Je sens mon sperme inonder la matrice de ma partenaire. Elle se déboite. Mon jus coule abondamment. Une autre femme la remplace. Même rite, même conséquence. ...
    ... Une dizaine de coups et ma jouissance arrive remplissant son sexe. Elles font une pose mais j’expulse toujours un jus beaucoup plus épais qu’au début. Je le sens dans mon conduit. Ça frotte, s’en est presque une jouissance permanente. Je n’ai plus "d’enculeur" mais je sens que l’on s’est vidé copieusement dans mon cul. J’aperçois Caro et lui fait signe de venir.
    
    — Oui, ma puce.
    
    — J’ai soif.
    
    — Il est vrai avec la quantité de liquide tu dois avoir soif, mais que de l’eau.
    
    — Je m’en fous, j’ai la bouche sèche.
    
    Elle revient avec une bouteille d’eau minérale. Elle me fait boire. La première gorgée me fait mal. Ça a un goût abject, comme la pilule.
    
    — Salope. Lui dis-je.
    
    — Tu vas te sentir bien. Tu vas voir.
    
    Je bois quasiment le litre et demi.
    
    — Je te laisse, j’ai deux ou trois queues qui m’attendent. Si tu as encore soif, demande à l’une de mes filles.
    
    — Vous êtes de la même famille ?
    
    — Curieuse.
    
    Elle dandine son gros cul ferme et, ma foi, fort joli.
    
    Vanessa, où est Vanessa. Ah, je l’aperçois. Elle est en train de se faire casser le cul par le p’tit jeune. Elle est en appui sur la table, la tête enfouie dans l’entrejambe de la dame qui tient le collier du jeunot. Les saillies reprennent au même rythme. À chaque fois, je jouis. L’odeur âcre de mon sperme prend le dessus sur toutes les autres.
    
    — A mon tour, étant la propriétaire des lieux, je me dois de te finir.
    
    Me dit la pulpeuse Caro. Elle se positionne. Du sperme coule déjà de sa moule. ...