Maud
Datte: 06/11/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bynimo45, Source: Literotica
... douleur un petit moment, ce qui me donnait une bonne raison d'y glisser ma main pour me soulager chaque fois que je pouvais le faire sans être vue.
Le léchage du soir devint un rituel qui me pesait de moins en moins.
À force d'être guidée vers les endroits de sa minette qui lui procuraient le plus de plaisir, je finis par anticiper ses désirs, et bientôt elle n'eut plus besoin de me guider.
Le sentiment de pouvoir que cela me procurait m'excitait et je me mis de plus en plus souvent à me masser l'entrejambe, de la façon qui me faisait tant de bien.
Germaine devait s'en apercevoir, mais elle ne disait rien, car elle en bénéficiait aussi.
D'ailleurs son attitude changea peu à peu, et il arrivait, après qu'elle ait joui, qu'elle me prenne sur sa poitrine en me serrant dans ses bras.
Parfois, je l'entendais chuchoter pour elle même quelque chose comme "ma poupée" ou "ma chérie", mais je ne suis pas sûre d'avoir bien entendu.
Une fois, après que je l'avais fait jouir, Germaine me fit allonger sur le dos et entreprit de lécher mon fendu; elle écarta les lèvres et lécha délicatement la vulve tout du long, allant même jusqu'à l'anus qu'elle titilla.
C'était agréable, mais ce n'était pas aussi bon que lorsque je me frottais moi même. Germaine dut le sentir, et elle ne renouvela pas l'expérience.
Au bout d'une quinzaine de jour, je sentis l'orage s'accumuler ne nouveau sur la tête de ma cousine; sa mère n'arrêtait pas de la critiquer et Germaine baissait la ...
... tête, résignée.
Je fus envoyée au lit tôt, et de nouveau, la radio fut mise à jouer fort.
Quand elle revint, je ne dormais pas et je l'entendis se mettre au lit en pleurant.
Après un petit moment, je la rejoignis dans son lit et, me collant contre son dos, je me mis à lui caresser les cheveux et les bras.
Elle ne dit rien et se laissa faire, et finalement ses sanglots se calmèrent et je sentis qu'elle s'endormait.
Je restai ainsi, collée contre elle, et je m'endormis également.
Quand je me réveillai, elle me tenait serrée dans ses bras, à moitié étouffée entre ses gros seins.
Elle se réveilla à son tour et m'embrassa sur le haut du crâne en me serrant encore plus fort.
À dater de ce jour, il n'y eut plus d'orties, plus d'humiliations, mais la séance de léchage du soir fut maintenue d'un accord réciproque.
Sauf les soirs de punition de Germaine, évidemment, que nous passions en nous serrant l'une contre l'autre.
Je n'osai jamais demander à Germaine ce qui se passait ces soirs là.
Ma mère était férue de diététique, et elle m'avait inculqué les grands principes.
J'aidai ma cousine à mieux gérer son alimentation, car je m'étais aperçu qu'Olga la gavait de bonbons et de gâteaux, dans le désir inconscient de la faire grossir pour pouvoir la rabaisser.
Nous allions le plus souvent possible à la piscine et nous nagions pendant des heures.
Germaine se mit à perdre du poids, au grand dam de sa mère.
À la fin des vacances, elle était plus en ...