1. Maud


    Datte: 06/11/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bynimo45, Source: Literotica

    ... tremblaient.
    
    Brusquement ce fut fini et Germaine retourna se coucher, me laissant nue et meurtrie au bas de mon lit.
    
    J'étais couverte de cloques qui me brûlaient horriblement et l'idée de remettre ma chemise de nuit me paraissait impensable.
    
    Je finis par me coucher, toute nue et sans rabattre ma couette.
    
    Je me mis à pleurer en pensant à l'enfer dans lequel j'étais tombé, et je finis par m'endormir ainsi.
    
    Au matin, les douleurs, sans avoir complètement disparu, s'étaient calmées, et les cloques avaient pratiquement disparu.
    
    Pendant les vacances, la journée des enfants consistait essentiellement à faire le ménage.
    
    Olga nous donnait des instructions et s'en allait bavarder chez la voisine .
    
    À voir le zèle que mettait Germaine à exécuter les ordres, on voyait qu'elle avait une peur bleue de sa mère.
    
    Je faisais ma part, en me disant que c'était mieux que de subir les mauvais traitements de ma cousine, car, son père étant au travail, nous étions seules la plupart du temps.
    
    Sa mère rentra la première et passa l'inspection, n'arrêtant pas de critiquer, ici un peu de poussière sur le dessus d'une armoire, là une trace de doigt sur un miroir, rien ne trouvait grâce à ses yeux.
    
    Pendant le repas, j'eus l'impression que l'orage s'accumulait sur la tête de Germaine, que sa mère critiquait sans cesse : elle faisait du bruit en buvant sa soupe, elle ne mangeait pas assez vite, ou au contraire trop!
    
    A la fin du repas, Olga m'envoya au lit, mais ordonna à ...
    ... Germaine de rester, ce qui m'étonna car d'habitude on nous envoyait nous coucher ensemble.
    
    Olga m'accompagna à la chambre et ferma la porte à clef, ce qui augmenta encore ma curiosité.
    
    La chambre était contiguë au séjour et je collai mon oreille au mur pour essayer d'entendre ce qui se passait, mais il était épais.
    
    Les seuls sons que j'entendais passaient par le couloir dont Olga avait fermé la porte, et la radio qui avait été allumée dispensait de la musique qui couvrait tous les autres bruits.
    
    Il me sembla pourtant entendre un cri à deux ou trois reprises, et il me sembla reconnaître la voix de Germaine, ce qui m'angoissa beaucoup.
    
    Cela dura ainsi ce qui me sembla une éternité, en fait bien moins d'une heure, puis la radio s'éteignit.
    
    j'entendis la porte du couloir qui s'ouvrait puis le bruit de la clef dans la serrure.
    
    Je gardai les yeux fermés en faisant semblant de dormir.
    
    J'entendis Germaine enfiler sa chemise de nuit et se mettre au lit.
    
    Pendant longtemps, je l'entendis pleurer.
    
    Je finis par m'endormir ainsi.
    
    Je croyais que ce qui s'était passé la veille me ferait oublier de Germaine, mais ce fut tout le contraire, comme, maltraitée par ses parents, elle se rattrapait sur moi.
    
    La journée se passa en travaux ménagers, mais cette fois en présence de sa mère, et, l'après midi, nous eûmes droit à aller à la piscine.
    
    Nous nous retrouvâmes donc seules seulement le soir, dans la chambre.
    
    Une fois en chemise de nuit, je sautai dans mon ...
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