1. La descente aux enfers d'une veuve 6 (4)


    Datte: 05/11/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: sexag, Source: Xstory

    ... branle, devant, derrière, elle songe à la bite du Père Dubois et rêve du moment où elle aura satisfaction. « Mon Dieu que c’est bon ! Faites que le Père me baise prochainement » et la salope part dans un deuxième orgasme aussi bruyant que le premier, mais avec un puissant jet de cyprine qui inonde le siège du confessionnal. Son expérience terminée, Annie sort de l’édicule, les cierges à la main, et se dirige en face de l’autel, prend un siège pour un bref repos, à moins que ce ne soit pour une prière de repentir !
    
    A cette heure-ci, l’église est quasiment déserte, seule une femme coiffée d’un foulard est en train de se recueillir les mains jointes. A l’arrivée d’Annie, elle la regarde fixement puis vient s’asseoir à côté d’elle.
    
    Délicatement, la femme se penche à l’oreille de sa voisine et murmure :
    
    — J’ai entendu du bruit et des gémissements dans le confessionnal ; manifestement, vous deviez vous donner du plaisir, je veux dire, vous deviez vous masturber.
    
    Annie, interloquée, se sent rougir, mais sans se démonter, regarde son interlocutrice dans les yeux.
    
    — Oui, je le confesse (!) c’était bien ça. Vous êtes offusquée ?
    
    — Non, pas du tout, moi aussi je recherche les lieux insolites pour m’envoyer au septième ciel (!), les églises, les cimetières la nuit, les bois le jour avec une pointe d’exhibe, les usines désaffectées, les compartiments de trains, même avec des clients et bien d’autres encore. Aujourd’hui, je suis complètement nue sous ma robe.
    
    »
    
    — ...
    ... Vous êtes une petite salope.
    
    — Oui, comme vous, je pense.
    
    — Vous avez l’air d’avoir une poitrine agressive et bien fournie, je peux voir ?
    
    — Non, pas ici, Jésus nous regarde.
    
    — ça le ferait peut-être bander ?
    
    Les deux nouvelles copines partent dans un fou rire vite étouffé, vu la résonance du lieu.
    
    — Je m’appelle Annie, et vous ?
    
    — Cindy.
    
    — Alors Cindy, vous vous masturbez souvent si je comprends bien.
    
    — Oui, mais pas que, j’aime bien le contact d’un corps, je n’ai aucun tabou sur ce qui peut me faire du bien et me pénétrer.
    
    — Dites-m’en plus.
    
    Une main de Cindy se pose ostensiblement sur la cuisse d’Annie qui se laisse caresser.
    
    — Vous me faites mouiller Cindy, moi non plus je n’ai pas de culotte, parlez-moi de vos plaisirs solitaires.
    
    « Ce ne sont pas que des plaisirs solitaires, mais c’est toute une histoire. Dommage, je dois partir, si vous souhaitez une nouvelle rencontre, voici ma carte de visite.
    
    Mais dites-moi, ces cierges que vous avez à la main... est-ce que je devine ?
    
    — Oui, vous avez bien deviné. Connaissez-vous la chanson de Brassens « Mélanie? Je m’en suis inspirée. Écoutez-la sur YouTube et vous comprendrez. »
    
    — Est-ce que vous pouvez m’en donner un, je m’en servirai en pensant à vous et en souhaitant votre appel ? Je pense qu’il y a encore l’odeur de votre chatte.
    
    — Au revoir Annie, peut-être à bientôt ?
    
    — Au revoir Cindy.
    
    Que de parcours et d’aventures depuis l’embauche d’Annie chez Madame Clotilde : ...