1. La nana de mon pote


    Datte: 05/11/2019, Catégories: Inceste / Tabou Hardcore, Masturbation Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Il était presque 2 heures du matin quand mon téléphone a sonné. J’étais sur le point de me coucher. En voyant le prénom « Mathieu » sur mon écran, je me suis demandé ce qui se passait. Mathieu et Virginie, sa nouvelle copine, étaient repartis de chez moi moins d’une heure avant. Nous avions passé la soirée à discuter en écoutant de la musique et en picolant.
    
    J’ai répondu et Mathieu m’a dit aussitôt :
    
    « Tu es encore debout ? »
    
    « Ouais. J’ai bu un dernier verre et je viens de sortir de la douche. Qu’est-ce qui t’arrive ? »
    
    Il a soupiré dans son combiné. Le problème de Mathieu, c’est qu’il ne tenait pas très bien l’alcool. En repartant de chez moi, il titubait. Virginie avait dû l’aider à descendre l’escalier.
    
    Il m’a dit :
    
    « Tu es tout seul ? »
    
    « Evidemment que je suis tout seul. Tu t’imagines quoi ? Que je suis allé chercher une pute après votre départ ? »
    
    « Non, pas une pute. Je parle de Virginie. »
    
    « Je ne comprends pas. »
    
    Il a de nouveau soupiré, puis dit :
    
    « Elle va sonner chez toi sans tarder. »
    
    « Virginie ? »
    
    « Ouais. »
    
    Avant qu’il m’en dise plus, j’ai supposé qu’ils avaient oublié quelque chose chez moi. Un paquet de tabac ou un téléphone. Je me suis même mis à regarder autour de moi, sur la table basse du salon, que j’avais débarrassée, puis autour, dans le canapé, sur les fauteuils et sur le sol. Je n’ai rien vu.
    
    Mathieu a ajouté :
    
    « On s’est pris la tête en rentrant. »
    
    J’ai fait :
    
    « Ah, OK. Mais pourquoi elle ...
    ... vient chez moi ? »
    
    « Parce qu’on s’est pris la tête sur toi. »
    
    « Comment ça ? »
    
    Nouveau soupir. Il y avait de la musique en sourdine derrière lui. Il tirait sur une cigarette et j’entendais les pas paresseux qu’il faisait sur le plancher du vieil appartement où il vivait. Les effets de l’alcool dévoraient la moitié de ses paroles.
    
    Il m’a dit :
    
    « Elle n’a pas arrêté de parler de toi sur le chemin du retour, comme quoi tu étais cool et super sympa, ce genre de trucs. Et une fois chez moi, quand j’ai voulu la toucher, elle m’a dit qu’elle n’avait pas envie, alors je lui ai dit de se barrer d’ici, mais elle m’a répondu qu’elle n’avait nulle part où aller, alors je lui ai dit qu’elle n’avait qu’à aller dormir chez toi, cette salope. Et puis elle s’est barrée. »
    
    L’instant suivant, on a sonné à mon interphone.
    
    Mathieu a dû entendre le bruit, car il m’a dit comme ça :
    
    « Je vous laisse. »
    
    Et il a raccroché.
    
    J’ai reposé mon téléphone et je suis allé ouvrir.
    
    C’était effectivement Virginie.
    
    Elle n’était pas très grande. Elle avait de beaux yeux bleus et des petits seins. C’est le genre de chose qu’on remarque quand on a l’occasion de passer une soirée entière avec un pote : le volume des seins de sa nouvelle copine, ainsi que le dessin de son cul à travers son pantalon. Les hommes ont les idées mal placées, mais je ne vous apprends rien.
    
    J’avais la trentaine, à l’époque. Comme Mathieu. Virginie était plus jeune. Je lui avais donné 22 ou 24 ans.
    
    Elle ...
«1234»