La cousine de ma mère - Histoires de Sexe

La cousine de ma mère

... durer son plaisir.
— C’est du beau, Pierre, tu regardes mes amies en cachette maintenant ?
— Non ! Devant aller à Orléans, j’ai dit au revoir à Françoise qui était au bord de la piscine et je suis monté en voiture. Après avoir fait quelques mètres, je me suis aperçu que j’avais oublié toutes mes notices techniques dans notre chambre du haut. Je suis retourné les chercher à pied par le chemin le plus direct, c’est à dire la porte de derrière. Françoise ne m’a pas vu revenir et, pensant qu’elle était seule en attendant que tu reviennes de ton cours de peinture, elle en a profité pour s’amuser toute seule. Je vais te dire, ma petite chérie, que c’est une des situations les plus érotiques à laquelle j’ai assisté. J’ai pris mes jumelles de marine et je l’ai regardée. J’avais l’impression d’être à quelques centimètres d’elle. Il ne me manquait que le son.
— Pierre tu m’étonnes. Je pensais que tu étais plutôt un homme d’action. Je ne te savais pas voyeur. Tu regardes souvent les femmes à la jumelle ?
— Non ! Je préfère le contact direct. Mais, pour en revenir à Françoise, j’étais tellement excité que j’en avais mal. Je n’ai jamais vu un tel déchaînement. Elle a réussi à mettre quatre doigts dans son sexe pendant quelle se massait le clitoris avec le pouce. Je voyais les gouttes de sueur qui perlaient sur son front. Après cela il a fallu que je calme mon sexe, je n’en pouvais plus. Je me suis déshabillé, je voulais être nu. Puis lentement, en la regardant, je me suis donné du ...

... plaisir. Je pense même que nous avons joui en même temps et plusieurs fois, puis je me suis rhabillé et là je suis réellement parti pour Orléans.
— Mais, Pierre, je vois que ça te met dans une super forme quand tu me racontes la scène. Profites-en pour me faire l’amour. Après ce que tu viens de me dire, non seulement j’en ai envie, mais en plus j’en ai besoin.

La discussion s’arrête, une porte claque, puis un grand silence s’installe. Mes cousins sont sûrement partis faire l’amour dans leur chambre. Je pense que j’aimerais bien les regarder. Moi aussi j’ai des envies de voyeur. Tout à coup, devant mes yeux, j’imagine cette femme devant la piscine en train de se caresser. Je commence à être très troublé. Mes vêtements me paraissent soudain trop chauds. Et, tout comme l’a fait Pierre avant d’aller à Orléans, je me déshabille, mon sexe est très dur, trop dur. Je me regarde devant la glace de l’armoire, je trouve que j’ai de belles fesses rondes et un peu féminines. C’est ce que toutes les femmes me disent. Je commence à me caresser, lentement, puis plus rapidement, puis c’est l’explosion. Mon plaisir est très profond, ma semence me brûle en sortant, maintenant je me sens mieux, beaucoup mieux. Je me rhabille puis je descends les escaliers en faisant le plus de bruit possible pour signaler à mes cousins que je descends. Je les retrouve au salon. Ma cousine a les yeux cernés. Ses cheveux mi-longs sont un peu mouillés par la transpiration. Elle a dû beaucoup jouir. Je la trouve ...