1. COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (5/11)


    Datte: 05/11/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
    
    Je viens de me faire sauter par trente types, non trente-deux si je compte les deux derniers, le réalisateur du film et le gardien des lieux.
    
    C’est Boby qui m’a forcé par punition du non-respect de son contrat d’être les fesses nues à tout moment.
    
    J’ai réussi à quitter la boîte échangiste fermée au public que mon amant a dû louer afin de mettre en place son plan faisant de moi une raclure, une vide couille à tous ces hommes.
    
    J’ai manqué de courage dès le début de ses harcèlements sexuels, j’aurais dû aller porter plainte, ce que je n’ai pas fait par peur de perdre mon emploi et de nous retrouver sur la paille après les achats somptueux que fait Lionel mon mari.
    
    À un feu rouge, deux hommes au volant d’une grosse voiture ouvrent leur vitre et me demandent si je me suis bien fait baiser.
    
    Sur le coup, j’ai un moment de frayeur, ne serais pas deux des hommes qui m’ont sauté toute la nuit, ayant attendu ma sortie afin de me suivre pour savoir où j’habite.
    
    Il me manque de la lucidité dans l’état où je suis, mais je retrouve mes esprits, s’ils avaient eu cette intention, ils seraient restés sagement derrière moi et ne seraient pas venus à ma hauteur.
    
    Le sperme, d’un coup, je me rappelle les litres qui ont été déposés sur mon visage et dans mes cheveux, je passe ma main sur ma joue, mes doigts s’engluent, il me faut redémarrer le feu étant au vert.
    
    Ma tension retombe, les deux garçons ayant accéléré, en ...
    ... peu de temps, ils sont déjà loin.
    
    Au feu suivant, je baisse la part soleil, je me regarde dans la glace, impossible de rentrer comme cela chez moi, Lionel n’est pas encore parti à son travail.
    
    Quelle conne, mes turpitudes m’ont vraiment fait perdre le sens des responsabilités, je reprends conscience de la facilité que j’ai à huit heures du matin pour circuler dans Paris.
    
    Je m’arrête sur un passage pour piétons, je me sers de la boîte de mouchoirs en papier dans le vide-poche de la portière pour me nettoyer du mieux que je peux.
    
    Impossible de rentrer chez moi dans cet état, surtout mes cheveux qui restent collés, à moins d’avoir la chance que mon mari dorme encore et que je puisse me glisser dans notre salle de bain, mon alibi trouvé la veille tombe à l’eau.
    
    Une idée me vient, pour aller me faire sauter par tous ces amants, je suis partie des toilettes des femmes de mon entreprise, sur le siège arrière, le sac avec mes affaires m'apporte la solution.
    
    Quelques minutes après, j’ouvre le parking avec mon badge et prenant l’ascenseur, j’enlève mon manteau et j’essaye de me laver les cheveux et le corps dans le lavabo des toilettes pour dame.
    
    Depuis que je connais Boby, les chiottes semble aux centres de mes turpitudes et le départ de nouvelles aventures bouleversant ma vie.
    
    Ciel mon patron, c’est ce que je pourrais dire quand la porte s’ouvre et que monsieur Gandin se trouve devant moi.
    
    • Joelle, que faite vous ici dans cette tenue, si votre nudité est ...
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