Delphine en Bretagne (1)
Datte: 05/11/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Thalderhoff, Source: Xstory
... sa bouche. Nos lèvres se sont unies, nos langues se sont emmêlées, j’ai fermé les yeux, prise d’un vertige délicieux. C’est à cet instant que j’ai compris que ce voyage ne serait pas comme les autres, que j’en garderai le souvenir toute ma vie.
Ce n’était quand même pas la première fois qu’un gars me pelotait les nichons cependant, aucun garçon n’avait réussi en quelques minutes à faire naître en moi un trouble aussi profond rien qu’en me caressant les seins. J’étais en train de découvrir des sensations que j’ignorais totalement. Comment parvenait-il à provoquer en moi ces frissons qui couraient de haut en bas de mon dos, tournaient dans mon ventre, remontaient dans ma gorge, étourdissaient ma tête. J’en voulais encore plus ! J’étais sous son emprise, prête à tout, offerte, soumise, du moment qu’il continuait à me rendre heureuse comme cela.
J’ai senti sa main caresser ma cuisse. Après tout, c’est bien moi qui avait ouvert mon kilt, non ! C’était bon ! Pour l’encourager à poursuivre dans cette voie, j’ai même posé mon pied sur la banquette, ouvrant ainsi mes jambes, mes cuisses, donnant libre court à sa main de me caresser là où bon lui semblerait. C’est très vite devenu insupportable ! Non pas que c’était désagréable, ô que non ! C’est plutôt que j’aspirais à d’autres caresses, encore plus intimes.
Ma bouche ne m’obéissait plus. Elle disait des mots sans que je lui en donne l’ordre, des mots comme "Oh oui !", "Encore", "C’est bon", "Oui, comme ça !". Et puis, comme ...
... dans un cri, j’ai prononcé une phrase que je n’avais jamais dite, et surtout pas comme ça, debout, dans un train, à un mec que je ne connaissais que par son prénom.
- "William, fais-moi l’amour mais soi gentil, c’est la première fois !"
Je ne sais pas s’il n’attendait plus que cela et s’il a été surpris de la révélaton que je venais de lui faire mais je n’ai pas été déçue !
Il m’a fait faire volte-face sans brutalité, m’a fait prendre appui sur la banquette là où j’étais assise. Il a relevé mon kilt sur mon dos, baissé ma culotte jusqu’aux genoux puis l’a fait descendre jusqu’au sol avec son pied.
J’ai entendu le cliquetis de la boucle de sa ceinture.
J’ai marché sur ma culotte pour m’en débarrasser et j’ai écarté mes jambes en creusant mes reins. Je m’offrais, sans aucune pudeur et même sans aucune appréhension.
Si ça c’est pas une invitation à me prendre comme une chienne !
Presque aussitôt, un contact doux et chaud est venu se poser sur mes lèvres intimes, les a écartées, agacées, caressées.
Ne t’inquiète pas, ma jolie ! C’est plus agréable que douloureux. Puis il a pris mes seins à pleines mains et, d’un coup d’un seul, m’a pénétrée profondément !
S’en était fini de ma virginité !
Oh le cri que j’ai poussé ! Un cri comme un appel au secours bientôt suivi d’un second.
Celui-là aurait plutôt demandé à ce que nous laisse tranquille, qu’on ne vienne surtout pas interrompre ce moment délicieux !
William savait y faire, ça c’est sûr ! Après ...