Le "G", le ripou et les belles nanas (1ère partie)
Datte: 04/11/2019,
Catégories:
fh,
grosseins,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Dr Lamb, Source: Revebebe
... ".
Since hausse les épaules.
— Je ne me suis pas arrêté à ce détail, fait-il.
— Je m’en doute. Bon, les mecs, on va pas moisir ici, je monte me doucher, et on va se prendre une pizza ?
Ils acquiescent. Putain, vivement la douche, j’en pouvais plus. Courbaturé de partout, je franchis le hall de l’immeuble et rentre enfin chez moi.
Je sortais de la douche, rasé, shampouiné, les dents brossées, quand mon téléphone se met à sonner. Je laisse tomber ma serviette et décroche, tout en prenant des fringues propres dans ma commode. Putain, j’avais laissé la télé en marche depuis hier…
— Ouais ?
— Allô ?
— Oui ?
— C’est qui là ?
Alors ça c’est un truc qui a le don de me foutre les nerfs en pelote. Les gens qui téléphonent et qui sortent n’importe quoi comme connerie.
— Mais à ton avis, tête de con, si tu m’appelles, tu dois bien savoir qui je suis, non ?
— Écoute-moi bien, fils de pute, sur la tête de ma mère, je vais t’avoir. Je vais te niquer.
— Décidément, tout le monde me veut, mais plutôt que niquer ton crédit téléphonique, amène-toi directement me parler en face, j’habite au 129 Elldoard Street, appartement 5, premier étage. Amène-toi et on réglera ton problème, fais-je en ramassant mes affaires sales pour les fourrer dans mon sac.
— Fais le malin, va.
Je raccroche sans prêter attention le moins du monde à l’étrange conversation que l’on venait de tenir, mon admirateur et moi. Si je devais donner un dollar à chaque fois qu’on me menaçait, putain, je ...
... serais plus riche que Bill Gates. Je m’habille, range mon arme dans ma ceinture, enfile mon blouson, range mon portable et dépose la culotte de Rita sur mon lit. Hum, putain, rien que de la renifler, j’avais la trique.
La pizzeria du quartier est tenue par Richie, un mec qui nous a vus grandir, il a maintenant au moins la quarantaine facile, enfin bon, je pense, je vais quand même pas oser lui demander son âge, ça se fait pas. C’est un petit établissement chaleureux, propre et convivial, où nous avions l’habitude de nous réunir, tous. Une télé était branchée sur les chaînes musicales, mais personne n’y faisait vraiment attention, trop occupés à renifler les délicieux fumets qui sortaient des fours. Richie n’a qu’une employée, Sheena, une black vraiment à tomber par terre, elle a vingt-cinq ans, et franchement elle nous fait tous bander comme des malades. Rien qu’à voir son petit visage d’ange, ses fesses bien rebondies, ses adorables petits seins ronds dont les pointes se dressent à travers l’étoffe de ses t-shirts… En plus de ça, elle avait une petite voix fluette très excitante, enfin bref, c’était un fantasme inaccessible parce que Richie la protégeait : pour lui, il n’était absolument pas envisageable qu’elle sorte avec l’un d’entre nous. Donc on regarde, on bande bien fort, bien dur, et on se la met derrière l’oreille.
— Salut, la jeunesse, nous fait Richie en nous voyant débarquer dans son restau.
Cette phrase, on y a droit à chaque fois qu’on met un pied chez ...