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Dame de cœur dame de cul
Datte: 04/11/2019, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... bar. Elle n'en fit rien. J'en suis sure aujourd'hui qu'elle le fit exprès. Elle n'était pas mécontente que de là-bas on nous observât et que notamment on perçut qu’elle était déjà penchée sur moi à effectuer une de ces fellations fameuses et si frénétiques. Jusqu'à ce jour peu de femmes m'ont sucé de la sorte. Quelle merveilleuse expérience. Ma main se perdait dans ses cheveux en d'infinies caresses. J'étais au paradis plutôt qu'en enfer. Elle se releva enfin encore avide de ma queue. Elle se décida enfin à démarrer. Sur tout le chemin nous n’eûmes de cesse d’entre dévorer nos bouches. Je comprenais mieux que des hommes pussent se damner pour de pareilles femmes. Si elle m'avait sommé de tout quitter et de la suivre j'eus sans hésitation adhérer à ce projet. Je ne pouvais concevoir maintenant la vie sans aller jusqu'à m'abreuver toujours à sa bouche, son sein et son sexe. Nous nous garâmes à une encablure de nos domiciles. Il faisait sombre loin des réverbères. Elle tint à me sucer de nouveau et cette fois jusqu'à susciter l'éjaculation et recueillir dans sa bouche un foutre chaud et crémeux. Il me tardait à obtenir davantage et à avoir accès au Graal. Nous eûmes durant tout une semaine un échange torride de SMS. Je battais froid ma copine. Celle-ci pouvait à bon droit se douter de quelque chose. Heureusement qu'elle ne sut que sa rivale pouvait avoir les traits de cette autre vieille putain tel qu'elle la dénommait devant moi. Je réalisais que la jolie poupée ne ...
... pourrait jamais m'offrir les mêmes voluptés que l'autre insigne putain. J’allais découvrir le vrai sexe et mordre enfin à ce fruit défendu. Je consentais d'avance à ma damnation. Le vrai bonheur n'était qu'à ce prix. J'eus cependant entre temps la fantaisie d'aller surprendre ma voisine et désormais maîtresse tandis qu'elle faisait les courses au supermarché avec son mari. Je ne sais où je pris le courage d'une telle audace. Elle-même m'en félicita par la suite. J'apprenais décidément vite. A l'insu du mari je la pistais à travers les rayons et de temps à autre la prenait en un coin pour la caresser et lui voler un baiser. Nous suscitions les regards réprobateurs et quolibets de ménagères acariâtres. Elles se récriaient : « Y a pas idée à se tripoter et à faire des cochonneries ici ! » Cela nous enchantait. Ce jour-là elle arborait toujours son manteau long et ses dessous sexy. Je pelotais tout cela impunément. J'étais épaté que ce mari ne s'offusquât pas du style de sa femme et qu'elle suscitât alentour les convoitises des mâles. Le pauvre avait du faire le deuil de beaucoup de choses et sa résignation maintenant confinait à une indifférence totale. J'en profitais. S'il y avait eu l'opportunité inespérée dans le magasin de trouver un coin retiré et assez obscur sans doute l'eus-je intimé à s'accroupir et à me bouffer la queue. La salope s'y serait pliée volontiers. Elle s'offrit pour le reste. A la fin je poussais le cynisme à aller la rejoindre aux caisses au moment où ...