1. Ma première fois


    Datte: 04/11/2019, Catégories: fh, jeunes, copains, fête, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, préservati, pénétratio, init, prememois, initfh, inithf, Auteur: SurfSound, Source: Revebebe

    ... portait encore ses collants bleus qui remontaient jusqu’à mi-cuisses et qui donnaient un air vraiment érotique à la vue.
    
    Je ne quittai pas le pied du lit, pas plus que ma main gauche ne lâcha sa cheville que je tenais délicatement. Me redressant encore, mon pénis toujours fièrement droit avec son uniforme, mon cœur pilonnant ma poitrine, je me glissai délicatement entre ses chevilles. Pendant les trois ou quatre secondes où je remontais vers elle, Alice m’ouvrit le chemin écartant toujours plus les jambes, doucement, au minimum, juste pour que j’aie assez d’espace pour continuer ma remontée. Elle les gardait assez serrées, en fait. À ce moment-là, arrivé au niveau de ses cuisses, ma tête au-dessus de son torse, je marquai une légère pause. Instinctivement, je l’embrassai tendrement une longue seconde, sur les lèvres puis sur la joue, puis entre les seins, qui étaient gonflés, la pointe dressée, ce qui lui fit prendre une grande respiration.
    
    Je ne pensais plus à l’environnement ; nous étions seuls. Je mourais d’envie de goûter à la jouissance de faire l’amour, complètement, à une femme, qui plus est mon premier amour. M’appuyant sur la main droite, je saisis ma verge à mi-longueur et essayai de m’approcher d’un mouvement du bassin. C’était bien évidemment impossible et, hésitant, j’essayai, du bassin, de me faire plus de place. Alice écarta alors un peu plus les jambes. Nouvelle tentative, mais ce n’était pas assez.
    
    Alors que je constatais que son regard était ...
    ... toujours braqué sur son entrejambe, observant la manœuvre, j’eus le courage de saisir sa jambe droite, de l’écarter doucement – geste dans lequel elle m’accompagna – puis, toujours doucement, avec mes deux mains, de relever un peu son bassin, geste qu’en fait je n’ai fait qu’initier puisqu’elle le mena à bien d’elle-même. Oui ! Suprême plaisir, chaleureuse satisfaction ! Elle me voulait, elle me livrait son bassin, elle m’invitait dans le creux de ses reins.
    
    Au-dessus d’elle, entre ses belles jambes blanches, j’étais devant la terre promise, cette toison magnifique. Enfin, au milieu, grâce à la place faite et la lumière de la pièce, je pus discerner les belles grandes lèvres dilatées et brillantes, de même que sur le matelas je remarquai une auréole résultant de l’excitation de ma chérie. C’était le moment : nous allions faire l’amour, complètement.
    
    Je m’inclinai un tout petit peu, je me saisis à nouveau de mon membre avec la main gauche tandis que ma droite était posée sous la cuisse d’Alice, et dirigeai sa tête vers l’entrée de la caverne. Le contact établi, mon cœur s’arrêta un instant alors que ma chérie eut un léger frisson. Toujours dressé devant elle, mon gland était à présent appuyé au creux de ses lèvres. Ma peur avait presque disparu, et mon regard alternait entre mes jambes et le visage de ma chérie. Après cette pause, je donnai une légère impulsion et vis mon gland disparaître aux trois quarts. Alice eut un nouveau soubresaut ; elle m’attrapa le bras et me tira ...