1. La descente aux enfers d'une veuve 6 (3)


    Datte: 04/11/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: sexag, Source: Xstory

    15 heures, c’est donc l’heure d’embauche d’Annie. Sa patronne lui avait demandé de se présenter à chaque fois nue sous sa blouse, mais elle a préféré revêtir la parure qui lui a été offerte : soutien-gorge, string, porte-jarretelles et bas de soie.
    
    Sur le chemin qui la conduit à la villa de Madame Clotilde, la tête d’Annie est pleine de préoccupation : Penser à son travail, vivre une nouvelle aventure avec sa patronne, va-t-elle lui parler de son « entrevue » avec le Père Dubois ? Va-t-elle rester soumise ou prendre le dessus ? Si Louis le mari de Clotilde est de retour, devra-t-elle rester bien sage ?
    
    Après s’être annoncée au portier de la grille, Annie entre dans le hall où l’attend Clotilde.
    
    — Bonjour Nini, je t’attendais.
    
    Après un bref baiser affectueux sur la bouche, Clotilde passe une légère caresse sur l’entrejambe de son employée.
    
    « Aujourd’hui, j’ai un long travail à te confier, tu vas faire les carreaux de toute la villa. Je sais que ce sera long, peut-être plusieurs jours, mais prends ton temps, je t’ai préparé tout le nécessaire dans la cuisine. Tu commenceras par l’entrée, y compris les glaces et si tu veux, si tu es libre, tu pourras dîner avec nous. Louis ne va pas tarder à arriver, il est parti faire un tour à son entreprise. Moi, j’ai du travail administratif, je serai dans mon bureau si tu as besoin de moi.
    
    Ah oui, j’oubliais, aujourd’hui, tu restes habillée avec ta blouse de travail, Monsieur étant là, tu comprends ? »
    
    « Bien ...
    ... Madame, si je comprends, nous serons sages ! »
    
    Clotilde part dans un fou rire.
    
    — Tu sembles y avoir pris goût ma petite salope.
    
    — Oui Madame, vous avez accepté aussi que je vous traite de salope malgré tout le respect que je vous dois.
    
    — C’est vrai, mais uniquement pendant nos parties de plaisir, en dehors, chacune reste à sa place, mais je reste ta patronne. Et tu es ma soumise en tous points.
    
    — Je vous ai donné mon accord. J’ai raconté nos relations au Père Dubois sans dire qui vous étiez et il m’a bien fait comprendre qu’à partir du moment où il y a consentement, prendre du plaisir vaut mieux qu’entrer en permanence en conflit comme on le voit trop souvent de nos jours sur tous les sujets. Il m’a permis de faire la part des choses avec ma pratique religieuse et vous avez pu constater que je suis libérée.
    
    — Il est très philosophe le Père Dubois. Un ecclésiastique n’en reste pas moins un homme. Je le remercie de t’avoir libérée psychologiquement, mais tu ne lui as quand même pas tout raconté même si la confession est très confidentielle et frappée du sceau du secret ?
    
    — Je lui ai dit beaucoup de choses et mon récit l’a énormément excité, il me l’a fait comprendre avec quelques caresses.
    
    — Tu crois qu’il aurait voulu te baiser ?
    
    — Il l’a fait !
    
    — Le Père Dubois t’a baisée ? Rien que d’y penser, tu me fais mouiller. Mais arrêtons là cette discussion, tu m’en diras plus. Pense que tu as beaucoup de travail.
    
    — Bien Madame, je vais me mettre à la ...
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