Clémence, vingt et un ans et deux mois
Datte: 03/11/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
inconnu,
grosseins,
groscul,
collection,
odeurs,
facial,
Oral
pénétratio,
fdanus,
coprolalie,
totalsexe,
occasion,
Auteur: Philémon Sept Clones, Source: Revebebe
Clémence, vingt et un ans et deux mois, gémissait sans retenue. À quatre pattes sur le lit qu’elle n’avait pas pris la peine de refaire, elle sentait le sexe de Cédric qui allait et venait en elle, avec des bruits dégradants, mouillés, qui amplifiaient encore son excitation. Le garçon la pilonnait sans finesse, avec brutalité même ; en fait, il lui assenait des coups de boutoir plus qu’il ne la baisait. C’était bien ce à quoi elle s’était attendue lorsqu’il s’était approché d’elle, dans la boîte où elle était venue achever ce vendredi soir de janvier qui, jusqu’alors, s’était révélé plutôt déprimant. Assez grand, blond, manifestement fier de son apparence physique, il arborait un sourire gentiment vulgaire et sa conversation n’allait pas très loin. Mais Clémence s’en fichait. Elle aurait donné beaucoup, ce jour-là, pour rompre la solitude qui la minait de plus en plus.
De son côté, Cédric, dès son entrée dans la boîte, avait repéré la petite brune un peu rondouillarde, l’air triste, qui semblait boire seule. Les filles à l’air triste, c’était sa spécialité. Il s’enorgueillissait de pouvoir les amener dans son lit et, quelques heures durant, les faire penser à autre chose qu’à ce qui pouvait les assombrir. Il avait remarqué qu’elles étaient souvent plus faciles à séduire que celles qui semblaient heureuses de vivre. Il avait pris le temps de détailler Clémence, ses longs cheveux châtain, ses seins lourds qui bougeaient légèrement en accompagnant ses mouvements, ses ...
... hanches larges, ses cuisses généreuses. Elle avait ainsi affolé son imagination en la poussant jusqu’à ses maigres limites. Leur conversation n’avait pas duré longtemps. Ils avaient vite compris, l’un et l’autre, ce qu’ils étaient venus chercher ; ils avaient vite compris, l’un et l’autre, ce qui allait suivre.
Il l’avait invitée chez lui mais elle avait refusé, lui proposant en revanche de l’accompagner jusqu’à son appartement. Les deux voitures avaient donc emprunté la nationale déserte et sombre qui menait à la ville. Il était un peu plus de deux heures du matin et Cédric, en observant les feux rouges de la petite Fiat grise qui le précédait, essayait d’imaginer ce qu’ils allaient faire ensemble.
Elle vivait dans une petite résidence composée d’immeubles de trois à quatre étages. Son studio était au rez-de-chaussée du premier bâtiment. Elle se laissa embrasser dès qu’elle eût refermé la porte d’entrée. Il lui suça la langue tandis qu’elle lui posait les mains sur les fesses, l’attirant contre elle ; son érection fut immédiate. Sans interrompre leur baiser, Clémence se mit à onduler lentement, sentant durcir le sexe de Cédric à travers son jean, tandis qu’il lui enlevait son blouson de cuir marron, sous lequel elle ne portait qu’un tee-shirt blanc. La sueur y avait dessiné des auréoles, sous les aisselles, entre les omoplates, au-dessus des seins. Il glissa la main droite sous le tee-shirt, la referma sur le sein gauche de Clémence qui, en réponse, haleta légèrement. En ...