1. Baby-sitting (8)


    Datte: 03/11/2019, Catégories: Transexuels Auteur: Sam Botte, Source: Xstory

    ... Je vis une lueur s’allumer dans ses yeux verts. Elle m’invita à m’asseoir à ses cotés sur le canapé, laissant le fauteuil en face de nous au père de son fils.
    
    Frédéric s’absenta une minute pour se rendre aux toilettes. Elle se rua sur moi
    
    — Ne me refais pas ça, ou je ne pourrai pas me retenir et je te sauterai dessus.
    
    — Ca, quoi?
    
    — Tu sais très bien ce que je veux dire.
    
    — Non, je te jure!
    
    — Te pencher comme ça, j’ai eu une envie folle de te mettre la main aux fesses!
    
    Elle dit cela en faisant glisser lentement ses doigts vers ma braguette. Je dus tirer un peu sur le sweat pour masquer mon érection alors que Frédéric revenait.
    
    Les cafés terminés, elle alla sans dire un mot chercher les affaires de Florian et les lui tendit. Il les prit et lui dit au revoir.
    
    A mon tour, je me levai et dit à Ghislaine :
    
    — Bien, voilà, c’est terminé. Je vais vous laisser, et merci encore pour le café.
    
    Elle fut d’autant plus surprise que mon (faux-) départ n’était pas prévu initialement, et je me retrouvais seul avec son ex à attendre l’ascenseur. C’est lorsqu’ils claquèrent sur le carrelage du palier qu’il remarqua la hauteur et la finesse de mes talons. Il ne me dit rien, mais je suis à peu près sûr qu’il se posait des questions sur mes goûts vestimentaires! Je fus moi-même très étonné de ne pas me sentir "plus gêné que ça".
    
    Une fois sur le trottoir, je déclinais sa proposition de profiter de sa voiture en lui disant que la mienne était garée à l’autre bout de ...
    ... la rue. J’avais eu envie de cette sortie, mais je n’aspirais maintenant qu’à retrouver Ghislaine, ses bottes et ses jupes en cuir!
    
    Je la rejoignis dans l’appartement.
    
    — Sam, s’il te plaît, repenche-toi en avant comme tout à l’heure, quand tu as pris ton café sur la table.
    
    Alors que je m’exécutais, elle se positionna derrière moi, mit ses deux mains sur mes hanches et se plaqua contre mes fesses.
    
    — Tu sais quoi, je voudrais pouvoir te prendre, comme ça !
    
    Elle me fit redresser, puis, toujours collée à moi, elle défit la fermeture éclair de mon pantalon, le fit glisser au sol et caressa doucement mon phallus à travers la petite culotte. Elle le prit ensuite dans la main gauche, pendant que la droite se mit à caresser le soutien-gorge que je portais sous le sweat-shirt, puis elle entama avec son bassin un mouvement d’avant en arrière.
    
    — Oh, j’aimerais tellement te baiser comme ça! Tu passes toute la journée avec moi en femme ?
    
    — Je ne demande pas mieux, mais si je veux être un tant soit peu crédible, il faut que je fasse un saut chez moi pour me raser.
    
    Tout en parlant, je passais les mains derrière moi afin de caresser ses fesses à travers sa jupe de cuir. Elle stoppa son mouvement et poussa un soupir de plaisir. Je remontais ma main droite vers sa nuque et me tordis le cou pour l’embrasser sans desserrer notre étreinte.
    
    — OK Sam, je t’emmène chez toi et au passage, je m’arrêterai au magasin pour acheter une perruque. Je devais déjà le faire la semaine ...