Anaïs
Datte: 03/11/2019,
Catégories:
ffh,
hplusag,
jeunes,
train,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Partouze / Groupe
init,
initiatiq,
Auteur: Monsieur P, Source: Revebebe
... secondes à mes mains expertes, les autres suivirent immédiatement. Je dégageai la première épaule pour mettre un sein à nu, le deuxième se trouva dans la même situation l’instant d’après. Anaïs, qui était restée jusqu’à présent impassible, dégagea ses bras des manches en laissant son chemisier tomber derrière elle, et se retrouva à demi nue entre moi et notre voisin.
Ce dernier était aussi immobile, mais ne perdait pas une miette du spectacle, et laissait transparaître une certaine émotion. Lorsque je posai une main sur les genoux d’Anaïs, je m’aperçus qu’elle avait déjà posé une des siennes sur un genou du jeune homme.
Comme la dernière fois, je lui écartai doucement les genoux, et lui retroussai au maximum la jupe. Alors que ma main progressait le long de sa cuisse, la sienne fit de même jusqu’à s’arrêter sur la bosse déformant le pantalon de son voisin.
Mes caresses se firent plus précises au creux de son intimité, la main d’Anaïs s’était déjà infiltrée dans le pantalon ouvert, et massait ouvertement le sexe tendu à travers l’étoffe du boxer. Anaïs ne se retint pas comme la dernière fois, et laissa éclater bruyamment son plaisir, le jeune homme fit de même. Alors qu’elle reprenait doucement ses esprits, le jeune voisin partit comme un boulet dans le couloir. Je suppose qu’il alla directement dans les toilettes pour nettoyer les traces de son bonheur. Anaïs me sauta au cou, et m’embrassa passionnément dans un signe que je pris comme un tendre ...
... remerciement.
Quand le jeune homme revint rhabillé et apparemment détendu, Anaïs et moi étions sagement assis à deviser comme s’il ne s’était rien passé. Il se souviendrait longtemps de ce voyage-là.
Le vendredi suivant, en raccompagnant Anaïs, je lui fis part du désir qu’avait Florence de la revoir, et de lui présenter un de ses amis. Comme elle n’avait pas de cours à réviser elle accepta avec plaisir. Nous passâmes prendre Florence à son travail et nous rendîmes chez son ami Maxime.
Je le connaissais déjà pour l’avoir rencontré plusieurs fois en compagnie de Florence. Je savais qu’il en « pinçait » pour elle, et qu’il ne lui était pas indifférent. Maxime n’avait pas de travail fixe, mais avait une fabuleuse culture et toujours assez d’argent pour recevoir dignement ses amis. À peine arrivés, il nous proposa une coupe de champagne.
Anaïs et Florence, sans se concerter, avaient revêtu une tenue semblable : une jupe très courte assortie d’un chemisier assez échancré, laissant deviner leurs poitrines adorables. Nous avions vraiment de la chance, Maxime et moi, d’être en compagnie de filles si désirables.
Nous parlions de tout et de rien lorsque Florence déclara :
— Au fait, j’ai fait développer les photos que nous avons prises chez Anaïs, vous voulez les voir ?
Maxime ne savait pas de quoi nous parlions, mais moi j’étais impatient de les regarder, seule Anaïs semblait réticente à l’idée de les voir surgir à cet instant. Florence les sortit de son sac et nous les montra une à ...