1. Anaïs


    Datte: 03/11/2019, Catégories: ffh, hplusag, jeunes, train, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe init, initiatiq, Auteur: Monsieur P, Source: Revebebe

    ... le même type de visage, mais surtout de corpulence et de taille identique, elles auraient effectivement pu passer pour issues de la même mère.
    
    Après quelques clichés, je leur proposai de se tourner un peu l’une vers l’autre, et de se prendre par la taille. Florence se débrouilla habilement pour que l’un de ses seins touche l’un de ceux d’Anaïs. Elle avait également une curieuse conception de la taille : une de ses mains effleurait quasiment le deuxième sein d’Anaïs. Si cette dernière ne voulut pas donner l’impression d’apprécier la pose, du côté de Florence, son corps, et en particulier ses seins trahirent son plaisir, ses tétons étaient érigés au maximum.
    
    — C’est bien, à présent asseyez-vous l’une à côté de l’autre sur le canapé en vous regardant droit dans les yeux…
    
    J’eus à peine le temps de prendre une photo que la situation m’échappa totalement. Florence, qui ne pouvait résister plus longtemps laissa ses mains courir sur le corps d’Anaïs, et approcha également son visage d’elle. Lorsque les mains arrivèrent à la poitrine d’Anaïs, leurs lèvres n’étaient qu’à quelques centimètres les unes des autres. Florence embrassa alors Anaïs à pleine bouche, et celle-ci ne chercha pas à se dérober. L’instant d’après Florence était allongée sur Anaïs et, autant ses mains que ses lèvres exploraient sans retenue le délicieux corps ainsi offert sans résistance.
    
    Je n’eus pas l’inconvenance de les déranger dans leurs ébats, et me contentai de passer un divin moment à jouir du ...
    ... plaisir de voir les deux filles faire intimement connaissance. Je n’en n’oubliai pas pour autant de figer ce souvenir avec mon appareil photo.
    
    À la fin de la journée, j’étais sûr qu’une véritable amitié et qu’une profonde intimité les lieraient pour longtemps.
    
    Le lendemain dans le train, ce fut Anaïs qui évoqua la journée passée, elle ne regrettait rien de ce qui s’était déroulé. Je pense même que cette expérience la libéra de ses complexes. Elle avoua au creux de mon oreille :
    
    — J’ai pris la même habitude que Florence, et même davantage.
    — Explique-moi.
    — J’ai décidé de ne plus porter de sous-vêtements.
    — Et c’est quoi le plus ?
    — Je me suis totalement épilée pour être plus douce.
    
    N’y croyant pas, je lui fis répéter, en croyant que j’avais rêvé. Elle me confirma qu’elle était aussi nue qu’au jour de sa naissance.
    
    — Montre-moi cela, remonte ta jupe, exigeai-je d’elle.
    
    Je ne pensais pas qu’elle le ferait, bien qu’il n’y ait que peu de monde autour de nous, juste un jeune homme sur la banquette voisine.
    
    Elle jeta un œil rapide sur le côté, et vit que le garçon dormait, elle commença alors à remonter lentement sa jupe sur ses cuisses. Lorsqu’elle fut assez remontée, je remarquai que notre voisin ne dormait plus, et regardait précisément les cuisses d’Anaïs. Cette dernière ne s’était aperçue de rien. Je posai mes mains sur ses cuisses et lui écartai doucement les genoux.
    
    — Je veux voir si tu es vraiment douce.
    
    Je retroussai davantage la jupe, et ma ...
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