Leslie Chapitre 04 - Histoires de Sexe

Leslie Chapitre 04

... lascif. Émile caresse délicatement mon genou et mon mollet. Il ne cherche pas à aller plus haut. Il ne s'impose pas sur moi, mais je sens sa présence. Malgré le malaise que je vis, je sens ma queue gonflée que je coince entre mes cuisses. Tout au long, Émile ne cesse de m'observer malgré le spectacle pervers que nous offrent nos copines. Je ne lui jette que des petits coups d'œil furtifs de temps à autre.

Valérie a glissé ses mains sous le débardeur d'Odette. Elle malaxe les seins qui lui sont offerts tout en continuant d'embrasser notre amie. Rapidement, le débardeur est chiffonné autour du cou d'Odette et j'ai une vue imprenable sur ses deux magnifiques tétons ronds dont les mamelons sont ornementés avec de petites perles reliées à des barres qui les transpercent. Le spectacle est magnifique, mais je constate encore qu'Émile ne s'y intéresse que très peu. Il caresse l'arrière de mon cou. J'ai tellement chaud que j'ai l'impression que je vais fondre. Son autre main est maintenant sur mon ventre.

Les mains d'Odette se déplacent des hanches de Valérie pour aller derrière elle. Je réalise qu'elle fait glisser la fermeture à glissière. Sa jupe de toile tombe à ses chevilles. Elle ne porte plus qu'un tanga rouge et ses bottines militaires noires. Elle s'attaque rapidement à son tanga qui glisse à son tour sur ses jambes la laissant complètement nue devant moi. Pour la première fois, je peux voir tous ses tatouages.

D'un mouvement sec, Odette lance avec un pied son ...

... tanga dans notre direction. Émile l'attrape au vol et il me le donne. Il dirige mes mains vers mon visage. Visiblement, il veut que je hume le sous-vêtement.

-- Depuis que Valérie nous a téléphoné cet après-midi, Odette est très excitée de t'inclure dans nos jeux avec Valérie. Elle s'est même masturbée sur votre balcon avant qu'on ne vous signale notre présence à la porte tantôt. Sens, tu vas voir.

Son visage est trop près du mien. Je tente de m'écarter un peu, mais je suis pris entre lui et l'accoudoir. Je le sens humer mes cheveux. Le tanga est en effet humide. Je le dépose sur l'accoudoir sans le porter à mon nez. Valérie retire sa tunique. La scène que nous offrent les deux femmes semble sortie directement de mes fantasmes. Elle me semble irréelle. Je n'arrive pas à réaliser que cela se passe vraiment devant moi. C'est peut-être une bonne chose, car la présence d'Émile me semble aussi moins réelle et donc moins insupportable.

Les deux femmes se sont tournées l'une vers l'autre et elles s'embrassent à pleine bouche. Je ne peux le voir, mais je devine qu'elles se masturbent mutuellement. Tant leurs mouvements saccadés que leur respiration haletante les trahissent. Émile n'a plus qu'une main qui me touche derrière le cou. L'autre est occupé à tenir son téléphone avec lequel il filme son épouse et ma fiancée. Odette commence à crier et gémir. Elle arque tout son corps qui est secoué de convulsions. La scène a quelque chose d'onirique. J'oublie complètement la présence ...