Le Bal - Histoires de Sexe

Le Bal

... leurs bouts de seins, nous lèchent le ventre, nous prodiguent une douce fellation. Une relaxation bien méritée après notre accompagnement dans leurs courses !

Nous échangeons nos femmes qui nous présentent leur cul dans un 69. Rebondies et fermes, leurs fesses se placent à hauteur de notre bouche. Nous entreprenons des cunnilingus. Marie a une chatte étroite avec des petites lèvres roses. Le capuchon de son clitoris commence à sortir. Je le serre dans mes lèvres et l’aspire, ce qu’apprécie ma partenaire. Au fur et à mesure que la liqueur capiteuse sort du vagin, je la bois. Je jette un coup d’œil sur Alain qui a introduit deux doigts dans le vagin de Christine. Celle-ci se frotte énergétiquement le clitoris en émettant des petits gémissements. Elle inonde le visage de son partenaire qui lui écarte à présent les fesses et caresse son anus. Nos femmes nous pompent sans relâche, aussi nous ne pouvons retenir notre orgasme. Nous nous endormons comme deux mâles au désir assouvi.

Assis sur un canapé baroque après la sieste, nous observons nos femmes s’apprêter pour le bal. Elles se toilettent, se maquillent, se parfument. Elles enfilent des bas soyeux et des slips hauts, puis se costument, laissant leurs seins nus à même les balconnets tissés dans leurs robes bouffantes bleue et jaune. Nous faisons de même, de sorte que nous nous retrouvons tous costumés et masqués à la réception de l’hôtel où nous attend un gondolier. L’embarcation au fond plat tangue lorsque nous nous ...

... installons sur les deux bancs étroits aux dossiers incurvés. Par de petits canaux, nous nous dirigeons vers le ponton de San Zaccaria. Notre gondolier hèle ses confrères pour annoncer ses manœuvres avec sa grande rame, opération qui provoque des clapotis sur le seuil des palais. Après un court trajet, nous accostons au quai. Le spectacle des touristes costumés nous enchante par sa variété, ses couleurs, sa gaieté.

Nous entrons dans le palais aux décorations byzantines où se tassent dans le hall des invités que des éphèbes dirigent vers un grand salon. Dans l’anonymat, plus de trente personnes costumées et masquées font connaissance. Rapidement, un animateur vêtu d’un habit d’Arlequin propose une sorte de farandole, les invités dansant à la queue leu leu, sautant sur chaque pied au rythme de la musique. Les éphèbes tiennent des soufflets entre les mains et dispersent de la farine sur la farandole qui s’enroule en spirale. Pressés devant et derrière, les invités se bousculent dans la bonne humeur. Alain s’amuse à soulever les robes pour entrevoir les jambes de ses voisines. Nos femmes collent leur poitrine sur le torse de leurs partenaires. Des femmes portant des quenouilles en papier de couleur illuminées par des bougies attisent les hommes par des baisers furtifs. Encouragés, des invités exhibent leurs atours et tentent des jeux de séduction. Se cachant derrière leurs masques, des hommes embrassent et caressent des inconnues. Des femmes enhardies découvrent leur poitrine et ...