Mes vacances inoubliables (1)
Datte: 02/11/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: freddy67, Source: Xstory
... une chose que ne n’avais jamais vue en dehors de film interdit aux mineurs : elles s’embrassèrent sur la bouche. Pas très longtemps, trois ou quatre secondes mais qui me firent dire que ce n’était pas la première fois qu’elles s’embrassaient de la sorte. Je détournais une nouvelle fois mon regard quand elles cessèrent afin de ne pas croiser les leurs. Je n’avais qu’une envie, c’était de m’enfuir mais je ne pouvais les laisser en plan et l’ensemble de la colle n’était pas encore sex… euh… pardon… sec.
En ramenant mon regard vers elles (comment pouvais-je faire autrement vu qu’elles étaient devant moi, et puis, la tentation était malgré tout trop forte), la blonde me fixait de nouveau non sans avoir laissé ses jambes écartées m’exposant sa culotte sciemment, et je vis la brune regardant par terre ramener ses pieds en montant ses genoux et les écartant. Les deux filles étaient quasiment dans la même position maintenant et je pus observer les deux culottes disposées à mon regard. Celle de la brune avait des petits motifs dessus contrairement à celle de la blonde blanche immaculée. La blonde me défiait presque du regard pour voir ma réaction d’homme face à leurs exhibitions. La brune elle, n’arrivait pas à relever son regard pour m’observer.
Mon sexe me faisait mal, emprisonné comme il était et ne demandait qu’à se déployer librement.
Je ne savais pas à quoi jouait exactement la blonde, mais cela devait être la dominante dans ce couple quasi juvénile. De mon côté, s’il ...
... n’y avait eu qu’elle, j’aurais peut-être répondu à ses provocations, mais il y avait la brune et vu son état, mal à l’aise et gênée, je ne pouvais ni ne voulais brusquer les choses.
Alors je me résignai et repris mon travail au niveau de la chambre à air. La colle semblait avoir prise, la rustine bien positionnée. Je remis quelques coups de râpes pour enlever le surplus de colle. Je ne pus malgré tout m’empêcher de jeter des regards rapides sur ces culottes offertes à ma vue. Je tentai un essai de gonflage du pneu pour voir la résistance de la rustine. La brune finit ainsi par me regarder et quand nos regards se croisèrent, je vis un air de défi dans ces yeux comme si elle me disait : regarde, je l’ai fait, je t’ai montré ma culotte qu’aucun garçon n’a jamais vu avant toi.
Mais ses yeux la trahirent dans sa défiance quand les miens comme des aimants furent attirés une nouvelle fois par sa culotte. Comprenez que je ne suis malgré tout qu’un homme et que ce genre de spectacle ne m’avait quasiment jamais été offert. Certes, je n’étais plus puceau mais je n’avais jamais eu à proprement parlé de petite amie, juste trois ou quatre filles de mon âge après une soirée pour bien la terminer ce qui fait que ma libido n’avait jamais été sublimée.
Là, je dois avouer que cette vision des deux culottes avait réveillé un côté obscur de mon cerveau que je ne connaissais pas : le voyeurisme. J’avais beau me dire de ne pas céder à la tentation, mais toujours mon regard y replongeait. ...