Solange et Cécile
Datte: 01/11/2019,
Catégories:
ff,
fff,
fbi,
fplusag,
alliance,
enceinte,
revede,
pénétratio,
lavement,
fouetfesse,
bellemere,
Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe
Résumé des chapitres précédents (voir n° 17581 et n° 17601) :Cécile a dû emménager chez sa « belle-maman » Solange, alors que son compagnon, Jérôme, s’est expatrié au Brésil. Les deux femmes s’entendent à merveille, Solange ayant initiée Cécile aux plaisirs saphiques.
En ce dimanche matin Solange répond au téléphone, puis me dit, avec un sourire en coin :
— C’était Alice. Elle a un petit problème.
— Quoi donc ?
— Que te dire ? Elle a le même problème que nous deux.
— Ah je vois ! Et que peux-tu y faire ?
— Oh, beaucoup de choses. Ingrate ! Ne t’ai-je pas tiré de ce mauvais pas ? Et à plusieurs reprises ? Aurais-tu à te plaindre de mes conseils ?
— Bien sûr que non, tu sais bien que tu as gagné ma totale confiance, dans ce domaine comme dans bien d’autres, mais…
— Mais quoi, ma chérie ? Serais-tu jalouse que je songe à soigner une de mes meilleures copines ?
— Non, bien sûr que non, je ne suis pas jalouse, je trouve simplement qu’à son âge, elle aurait dû élaborer des procédures pour régler toute seule ce genre de problème.
— Eh bien mais c’est le cas, ma biche. Et je constitue une de ses procédures. Imagine-toi que nous nous connaissons depuis longtemps, elle et moi, ainsi que Geneviève et Françoise, et que nous nous assistons autant qu’il est possible, et l’infirmière ici, c’est moi.
— Donc tu prends ta poire sous le bras et tu vas chez elle…
— Non, Mademoiselle caquet-bon-bec, cesse de dire des bêtises, tu verras bien la suite.
Je me tais, elle m’a ...
... cloué le bec. Après le déjeuner, à l’heure du café, Alice se présente et nous rejoint dans le salon. Assise à côté de Solange, elle papote, une tasse à la main, commentant les dernières nouvelles du patelin. Solange m’apostrophe :
— Cécile, veux-tu préparer la poire, s’il te plait ?
Je vais chercher l’objet dans la chambre sans oublier le tube de vaseline, puis me rends dans la cuisine. Lorsque tout est prêt je reviens au salon. Alice, déchaussée, est installée à genoux sur le canapé, a posé sa tête sur les cuisses de Solange et pris la pose habituelle, tandis que Solange lui retrousse sa jupe, et me fait signe de baisser la culotte et de procéder. Je dois reconnaître que je savoure cet instant en me remémorant la fessée collective qui m’avait été appliquée chez Geneviève. Je comprends que Solange a manœuvré pour m’offrir cette petite compensation et je la remercie d’un sourire et d’un battement de cils. Ayant donc baissé la culotte, je me fais un plaisir de tartiner l’anus de la patiente d’un peu de vaseline puis j’introduis la canule. Je presse lentement la poire, sachant que j’ai préparé le lavement un soupçon trop chaud, ce qui provoque la contraction des superbes fesses et un gémissement d’Alice.
— Voilà, dit Solange, tu le gardes un peu, cinq minutes, et tu pourras te soulager.
— C’était un peu chaud, me fait Alice, sourcils froncés et remontant sa culotte.
— Ne te plains pas trop, espèce de douillette, Cécile est merveilleusement délicate dans cet exercice ...