1. Une femme sait tout faire


    Datte: 01/11/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, cocus, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Auteur: Ours Gris, Source: Revebebe

    Mes histoires sont des moments de vie où je mets en scène Martine, mais je n’ai pas souhaité les incorporer dans une série, avec un ordre chronologique. Je préfère les présenter au fil de mes souvenirs et de mon inspiration.Dans « Le réparateur de volets », elle avait environ 24 ans. Cette histoire-ci se passe dix ans plus tard. Si Gilbert – dont j’ai, bien entendu, changé le nom, se reconnaît, – je serais intéressé d’avoir ses impressions…Pour ceux qui souhaitent des explications, il suffit de m’envoyer un message ou un mail.
    
    Ce jour-là, j’ai exceptionnellement terminé mon travail beaucoup plus tôt que d’habitude. Je suis alors tellement accaparé par ma vie professionnelle que parfois je finis par ne plus connaître les habitudes de la famille. À quelle heure les filles sortent de l’école ? À quel moment Martine va faire ses courses ou retrouver une amie ? Aucune idée. Je ne suis donc pas vraiment étonné de trouver porte close. Heureusement, je sais où se trouve la clé de secours.
    
    C’est stressant cette grande maison silencieuse, habituellement pleine de vie. Je suis quand même déçu, j’avais imaginé des exclamations de surprise :
    
    — Déjà… tu es malade ?
    
    Bon, tant pis… Le landau de Cédric, le gamin que Martine garde, n’est pas dans l’entrée. Elle a dû aller au supermarché, ou tout simplement le promener.
    
    Je vais dans le séjour, je lance ma veste sur le canapé et m’y installe. J’aime bien regarder par la porte-fenêtre ce petit vent qui balaye les dernières ...
    ... feuilles mortes. Je laisse mon regard en suivre quelques-unes, j’enlève mes chaussures. C’est agréable de se laisser aller. Et sans m’en rendre compte, je me suis endormi.
    
    Ma tête est tombée sur le côté, j’ai un peu mal au cou et j’ai un peu la tête dans la brume. Martine doit être revenue. Dans la pièce à côté, j’entends les légers vagissements du bébé, il secoue son lit pour que quelqu’un l’attrape. Martine ne doit pas l’entendre.
    
    Je reviens dans la cuisine et j’ai la surprise de voir le landau… avec le bébé qui dort à l’intérieur ! Le petit manteau gris de Martine est sur le dos d’une chaise, et sur l’autre chaise il y a une veste que je ne connais pas, certainement celle de Gilbert le père de Cédric. Il débauche souvent avant sa femme et c’est alors lui qui vient chercher le bébé.
    
    Les bruits que j’entendais ne viennent pas du bébé, mais bien de la chambre où se trouve son petit lit. La porte est à peine entrouverte. J’écoute. Ce ne sont pas des vagissements de bébé, mais des soupirs. Cette fois j’ai compris. Je pousse doucement la porte. Au fond de la chambre, près de la porte fenêtre qui donne sur le jardin, des mouvements ne laissent aucun doute sur l’activité qui est train de se pratiquer. Une femme et un homme en train de s’accoupler. L’homme est de dos, le pantalon sur les pieds. Je reconnais la stature et la coupe de cheveux de Gilbert. Les deux genoux qui bougent de part et d’autre de ses jambes sont évidemment ceux de Martine. Je n’aurais jamais pensé qu’elle ...
«123»