Claude-Marie: Cahier 2 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 2

... vêtements. Elle me regarde.

« J'ai reçu un message? »

Je lui tends le téléphone. « As-tu vraiment fait tout ce qui est écrit? »

Elle rougit, mais soutient mon regard en me répondant. « Oui. » Puis elle continue. « Peux-tu envoyer les photos à l'adresse de Sarah? »

« Il y en a beaucoup trop. Je ne peux pas toutes les envoyer. »

« Fais une sélection et fais lui parvenir. Mais avant prends ma laisse et amène-moi à Gaëlle qui va me coiffer. »

Une heure et demie plus tard, ma mère avait été coiffée et maquillée et elle portait à nouveau ses vêtements très osés. Je tenais sa laisse et nous quittions le Spa. J'avais fait parvenir une vingtaine d'images de ma mère, dont une, au moment où elle « éjaculait ». En tout j'avais capté pas moins de 250 photos de ma mère qui se masturbait. Plusieurs étaient très belles et très excitantes. Son corps couvert d'huile était magnifique sur les photos. J'ai gravé un CD-Rom avec les photos que je lui ai remis.

En route, ma mère m'a demandé de rester jusqu'à ce que les parents de Jessica arrivent. J'ai plaidé que je devais aller retrouver Max à l'entrainement, mais elle m'a convaincu de rester. J'ai laissé un message à Max pour l'informer de mon retard et pendant près d'une heure j'ai aidé ma mère à préparer des canapés et à nettoyer la maison. Ma mère m'a aussi demandé de préparer un sac afin que je couche à l'extérieur.

Au moment où je finalise mon sac, ma mère vient me chercher. Encore une fois, elle est nue. Elle ne ...

... porte que son collier, sa laisse et ses sandales. « C'est le moment ma chérie. J'ai une dernière faveur à te demander. Peux-tu me donner aux parents de Jessica? »

« Te donner? » Lui dis-je interrogativement.

« Oui, me donner. Donne-leur la laisse et dis-leur que je leur appartiens maintenant. C'est tout. »

« Tu es vraiment certaine que tu veux faire cela? »

« Oui, vraiment. Comme tu es certaine que tu veux aller de l'avant avec ton opération... »

Elle n'a pas fini sa phrase et elle me regardait. Ce qu'elle venait de me dire me frappait directement. Je ne pouvais croire ma mère, mais en même temps je comprenais la portée de ce qu'elle venait de me dire. Ma mère venait de trouver le cheminement qu'elle désirait depuis longtemps, probablement depuis la mort de mon père. Et comme moi, elle n'allait pas laisser passer la chance.

J'ai pris la laisse et ma mère a mis une main dans mon dos pour me diriger. Elle marche à mon côté droit laissant voir que je suis en contrôle quand en fait c'est elle qui me dirige. Je crois qu'on va simplement ouvrir la porte avant. Mais une fois la porte ouverte, elle ne s'arrête pas. Elle avance sur le perron, descend les marches et traverse le petit sentier vers notre stationnement entièrement nue. Les voisins doivent avoir un beau spectacle. J'entends une voiture s'approcher, puis une autre. Une grosse Mercedes grise se gare devant la maison puis une petite Mercedes sportive rouge. Monsieur Lemieux sort de la voiture grise et madame de ...