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Datte: 17/03/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: chloe23, Source: Xstory
... infernal.
Je me suis mise à gémir de nouveau, mais un autre voyeur m’a bâillonnée, en m’enfonçant sa bite dans la bouche. Instinctivement, j’ai pris sa tige dans ma main, et je me suis mise à le branler, en le suçant.
Je n’arrivais plus à jouir, mais je ressentais un plaisir d’une autre nature, plus cérébral, la fierté de m’offrir à qui me voulait et de le faire éjaculer.
J’y réussis assez vite, et je reçus, dans ma gorge et entre mes fesses, à quelques secondes d’intervalle, deux longs flots d’un foutre épais et chaud.
Aussitôt, on me releva. C’est à peine si je tenais encore debout, et j’avais l’impression d’être un pantin entre les mains puissantes de tous ces mâles.
— On l’a pas prise en double, lança un des hommes. On essaie ?
— Oh oui ! Putain, bonne idée, répondit un autre.
Le premier s’allongea sur la couverture, son pieu dressé à la verticale. Je n’ai opposé aucune résistance, pendant qu’on m’installait à califourchon sur lui et, sans réfléchir, j’ai écarté mes lèvres avec mes doigts pour venir m’empaler sur son vit.
— Vous avez vu ? Ça lui plaît, a commenté celui qui venait derrière moi. Allez, salope, présente moi ton cul.
J’ai écarté mes fesses, sous les commentaires salaces, et il s’est enfoncé dans mon petit trou, lentement. Il a marqué un temps d’arrêt, avant de me dire :
— Maintenant, ça va être ta fête !
Il s’est presque retiré, a attendu quelques secondes, avant de me pénétrer totalement d’un seul coup de reins ...
... violent.
Ensuite, il s’est déchaîné. Chacun de ses mouvements me soulevait, puis me laissait retomber lourdement sur la verge qui remplissait ma fente. J’avais l’impression que mes parois allaient se déchirer dans mon ventre mais c’était terriblement bon.
Ils savaient se contrôler tous les deux, et cette double pénétration me parut interminable. Je gémissais, je feulais, je hurlais. Et au bout de longues minutes, j’ai senti, incrédule, un nouvel orgasme qui montait.
Quand ils ont compris que je venais, ils ont libéré leur semence, et j’ai joui en mêlant ma sève à leur foutre.
Dès qu’ils se sont retirés et m’ont laissée, je me suis écroulée sur la couverture, au bord de l’évanouissement. Il m’a semblé que d’autres hommes s’approchaient encore, et j’ai crié, d’une voix que je ne reconnaissais pas :
— Non ! Par pitié ! J’en peux plus, je suis morte.
SIMON
J’avais regardé, incrédule, Lucie prise en sandwich, qui arrivait encore à jouir. Je me suis dit qu’elle avait réalisé son fantasme, sans doute au-delà de ses espérances.
Alors, quand je l’ai entendue supplier ses assaillants d’arrêter, je suis sorti de ma cachette.
Le groupe d’hommes m’a toisé quand je me suis approché. Mais quand ils se sont rendu compte que Lucie me connaissait, leur hostilité s’est transformée en crainte, et ils ont battu en retraite.
J’ai rejoint ma femme, et je l’ai aidée à se remettre debout.
Son visage était barbouillé de maquillage, sa chevelure en désordre, tout son corps était ...