1. Banquière perverse (26)


    Datte: 31/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... temps ; en route !
    
    Comme il fait un temps magnifique, Gladice décide de s’habiller court et léger, ce sera donc : minijupe, un top pour le haut, pas de sous-vêtements (pour respecter la règle mais surtout par plaisir) et desConverse rose pâle pour souligner le tout. Quant à moi c’estJeans sans rien dessous, tee-shirt, baskets ; et nous partons chasser l’homme idéal !
    
    Pendant toute la journée, nous parcourons Paris dans tous les sens sans rien trouver. Nous avons bien vu quelques garçons, mais à chaque fois, un paramètre ne convenait pas, et nous rentrons bredouille. Force de constater que le métier de chasseur de têtes est loin d’être chose facile, nous décidons donc de changer de méthode pour demain ; en préparant un questionnaire précis.
    
    La nuit fut courte et agitée, car ma Chérie gourmande de sexe était insatiable et m’a littéralement épuisé. Il me faut une bonne douche pour me sortir de mon sommeil. Je termine à peine de me préparer que Gladice entre en trombe dans la salle de bains.
    
    — Chérie ! Jelila arrive demain après-midi, il faut aller la chercher à Roissy à 18 heures !
    
    — Mais elle rentre plus tôt que prévu ?
    
    — Oui, elle dit avoir tout réglé, qu’elle n’a plus rien à faire là-bas, et qu’elle est impatiente de nous retrouver ; en PS elle demande si la chasse a été bonne !
    
    — OK ! Elle rentre car elle est impatiente de voir quel genre de mec on lui a trouvé ; pour le moment c’est le fiasco ! Et que lui as-tu répondu ?
    
    — Pour le moment, je lui ai ...
    ... dit que c’était en bonne voie.
    
    — Donc il faut qu’on se bouge les fesses sérieusement !
    
    — Tu as tout compris, mon Amour !
    
    Nous repartons en chasse après avoir choisi d’aller plutôt vers les grands magasins et les boîtes d’intérim ; nous espérons trouver plus facilement. Nous sommes rue Vaugirard tout près de l’agence DPS Intérim, juste en passant devant la porte un black l’air dépité en sort, et heurte Gladice ; il manque de la faire tomber ; j’ai juste le temps de la rattraper.
    
    — Oh…! Pardon Madame, je suis désolé,dit le black au fort accent africain
    
    — Ce n’est rien, répond Gladice. En le détaillant de la tête aux pieds.
    
    — Je suis vraiment désolé, je n’ai pas beaucoup d’argent mais je peux vous offrir un verre pour me faire pardonner !
    
    — Soit ! On va à la brasserie là-bas ?
    
    — Oui, si tu veux, mais j’espère que ce n’est pas trop cher !
    
    — Ne t’inquiète pas, on va payer ; si cela peut t’aider.
    
    — Merci, Madame.
    
    Nous nous rendons dans la brasserie et Gladice désigne du doigt une table un peu à l’écart :
    
    — On se met à cette table, nous serons tranquilles pour discuter, pas vrai Chéri !
    
    — Tu as raison, et j’ai le sentiment qu’il t’a tapé dans l’œil ?
    
    — Tu as tout compris, je le sens bien ce garçon ; imagine que ce soit le bon !
    
    — Ce serait vraiment un coup de bol !
    
    Nous nous installons, Gladice et moi côte à côte et l’homme en face de nous ; le serveur s’approche :
    
    — Bonjour Madame, Messieurs ; vous désirez … ?
    
    — Chéri, il est ...
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