1. Beau...papa


    Datte: 31/10/2019, Catégories: fh, hplusag, alliance, Oral 69, pénétratio, Auteur: Valé, Source: Revebebe

    ... qui eut pour effet de les faire ressortir plus intensément encore à travers mon tee-shirt ample et fin.
    
    Henri est revenu juste à ce moment, changé, en short, et, bien sûr, ses yeux se sont immédiatement posés sur ma poitrine. J’étais rouge et en même temps je dois le confesser, j’éprouvais un grand plaisir à être ainsi dénudée du regard. Ma poitrine ne pointait que plus fort et mon entrejambe commençait à s’humidifier. J’ai préféré lancer le travail immédiatement.
    
    — Allez, beau-papa, au travail. Je commence à ratisser les quelques feuilles au sol, quant à vous je vous charge de tailler les rosiers si vous le voulez bien.
    — C’est très bien.
    
    Cela faisait une bonne demi-heure que nous travaillions tous deux en silence, lorsque soudain Henri poussa un cri de douleur.
    
    — Je me suis accroché dans les rosiers et j’ai la cuisse toute griffée et saignante. En plus, je ne me souviens pas à quand remonte ma dernière vaccination antitétanique.
    — Alors dans ce cas, il faut vous désinfecter immédiatement. Venez avec moi dans la salle de bain, il y a une armoire à pharmacie.
    
    Dans la salle de bain je pris une solution désinfectante et, me baissant devant Henri, j’imbibai un coton et le passai sur les blessures situées sur la jambe, sur la cuisse jusque très haut car Henri dut soulever le tissu de son short. C’était un short doublé slip en maille et la vision des bourses d’Henri au travers des mailles du slip provoqua le même émoi que lorsque je l’attendais pendant qu’il se ...
    ... changeait. Ma culotte s’humidifia, mes seins dardèrent et Henry debout devant moi qui voyait presque entièrement mes petits seins durs (car mon tee-shirt était ample) se mit à bander. D’un bond je me levai en déclarant :
    
    — Les soins sont terminés. Est-ce que je suis une infirmière compétente ?
    — Très compétente et encore plus désirable chaque instant.
    
    Je suis assez timide, je le répète, je me tins muette et retournai au jardin. Le reste de la journée se déroula normalement. Henri termina la taille des rosiers, bêcha le potager, tailla quelques branches d’arbres et, vers dix-sept heures, il partit chercher Maxime à l’école. J’en profitai pour me doucher et revêtir un autre tee-shirt tout aussi léger et échancré et une jupette souple. Une petite culotte blanche et toujours pas de soutien-gorge. Cette journée m’avait-elle émoustillée ?
    
    Vers vingt heures Maxime ayant fini son repas, je l’accompagnai jusqu’à sa chambre pour le coucher. Maxime déclara qu’il voulait que papy vienne aussi. Une fois maxime couché, nous allions quitter la chambre lorsque mon fils demanda que l’on éteigne la lumière et que l’on reste encore cinq minutes près de lui dans le noir. C’est ce que nous fîmes assis tous les deux sur le lit, moi près de Maxime et Henri derrière moi. Maxime, craignant que son grand-père ne soit sorti demanda s’il était présent dans la pièce, et Henri se rapprochant de son petit-fils se positionna à mes cotés et dit qu’il était bien là.
    
    Mais, ce faisant, il passa sa ...
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