43- Les jeunes parents de mon viel ami Zoubir :
Datte: 17/01/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Noura, Source: Hds
43- Les jeunes parents de mon viel ami Zoubir :
On me nomme Habib, agé maintenant de 60 ans environ, je suis gay depuis pratiquement 40 ans pour le plaisir de ma Terma (cul) qui raffole des zobs, surtout ceux qui sont gros, épaix et surtout très longs comme ceux des blacks, dont j’ai usé et abusé des centaines de fois à deux ou à plusieurs à la fois. Mais depuis une dizaine d’années, ma Terma, peut être à cause de mon âge, a moins de chance et je me contente de zobs entre 40 et 50 ans sauf quelques cas plus jeunes et plus vigoureux et surtout resistants. Pourtant ma Terma n’a presque rien perdu de sa largeur ni de sa souplesse et certainement pas de sa douceur interne. C’est toujours après que leurs zobs m’aient pénètrés à fond que mes amants, même âgés, s’étonnent des qualités de ma Terma et alors, ils se donnent au maximum pour la satisfaire. Je vous ai déjà raconté pas mal d’aventures de ma Terma sous d’autres prénoms, mais je préfère vous conter ce qui m’est arrivé avec les fils de mon viel ami Zoubir.
Je connais Zoubir depuis mon jeune âge car on a fait l’école ensemble et, plus tard, une partie de nos études supérieures. Au niveau sexuel, il a été vierge jusqu’à son mariage vers 30 ans, puis il est parti travailler en France comme prof de langues et s’est marié avec une française qui enseignait dans le même lycée. J’ai perdu leur trace pendant des années mais à la mort de son oncle, je l’ai revu à son arrivée dans notre ancien village lors de l’enterrement. Il ...
... était venu seulement avec un de ses fils, français Paul âgé de 30 ans et le fils de sa belle sœur, André, agés de 28 ans et qui désiraient surtout faire du tourisme durant leur séjour. Le reste de la famille de Zoubir est resté en France. Paul était professeur de dessin d’art et André enseignait comme sa tante, la musique. Ils travaillaient dans deux lycées différents mais ils ont quitté leurs parents et logeaient dans un même petit appartemen à Paris, car ils étaient encore célibataires.
Pendant leur séjour, Zoubir a accepté de loger au village mais les deux jeunes ont refusé, alors j’ai proposé de les héberger en ville, dans mon appartement F3 où je vivais seul depuis quelques années. Ils étaient donc mes invités, je leur faisais la cuisine avec des compléments de l’extérieur et ils dormaient dans une chambre, ensemble et moi dans ma mienne. Dès le premier soir, ils se sont mis à l’aise, en shorts très courts et tee shirts. Pour ne pas les généer, je les ai rassuré et que moi-même, souvent, je me mettais à l’aise ainsi. Mais dans mon fort intérieur, leurs tenues presque nues me faisaient plaisir car c’étaient deux très beaux jeunes gens. Blancs de peau fraiche, bien dans leurs corps bien remplis, ils n’avaient pratiqement aucun poil, ni devant sur la poitrine et les cuisses, ni derrière sur le dos, les hanches et les entre cuisses. Ils étaient désirables et je n’ai pas pu m’empêcher de les admirer. J’insistais surtout sur leurs zobs et leurs couilles qui déformaient leurs ...