Min
Datte: 31/10/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
extracon,
vacances,
voyage,
bateau,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
confession,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... reste de la journée, je n’ai cessé de penser à ce moment d’extase avec Omar, ressentant à la fois une certaine honte et une grande frustration. Jacques avait bien remarqué qu’il se passait quelque chose mais avait soigneusement évité de m’en parler ou de me déranger. Pas une fois cette journée nous ne nous sommes retrouvés seuls avec Omar. J’ai quand même profité de chaque effleurement, de chaque moment fugace où j’ai senti sa peau contre la mienne ou son odeur flatter mes narines. Je ne savais pas si les vieux avaient remarqué quoi que ce soit, et je m’en foutais…
Nous remontions le Nil en direction du barrage le lendemain matin quand nous sommes arrivés au petit déjeuner. C’est marrant comme les gens prennent leurs habitudes. Chacun avait pris la même place que la veille. Je me suis donc naturellement assise à côté d’Omar, tout sourire. Le commandant est venu nous recommander de monter sur le pont. Nous allions passer à proximité d’une entrée de rivière dans le Nil. L’eau de ce fleuve est sale et souvent nauséabonde. Mais à cet endroit, on a l’impression que le désert rentre dans l’eau en y apportant sa clarté. C’était irréel, incroyable. C’est peut-être le seul endroit où l’on peut se baigner. Mais il faut aimer l’eau froide. La source qui se jette dans le Nil à cet endroit est glaciale. Omar a insisté. Le bateau s’est immobilisé et nous sommes descendus passer nos maillots de bain.
L’air devait être déjà à 28/30 degrés ce matin-là. L’eau, je ne sais pas, mais on ...
... aurait dit qu’elle était chargée de glaçons. Y entrer était vraiment difficile. Omar, lui, s’est jeté directement, m’invitant à ne pas trop hésiter et à le suivre. J’ai fini par sauter en me bouchant le nez, provoquant sans doute un gros plouf. Effectivement, j’ai été saisie par le froid, et je me suis mise à nager vers la plage le plus vite possible pour me réchauffer. Omar nageait à l’indienne à côté de moi. Deux chameaux nous regardaient nous approcher. Nous avions le soleil dans le dos, le sable devant nous, le désert à l’infini. Je me sentais bien, heureuse.
Assis sur le sable, nous regardions les autres passagers continuer à progresser pour entrer dans l’eau. Jacques était assis sur le ponton, les jambes dans l’eau. La mamie se passait de l’eau sur la nuque, encore et encore. Son mari discutait avec Mustapha, qui lui ne voulait visiblement pas quitter le bateau. Avec Omar, nous nous sommes regardés. Je ne sais pas à ce moment-là s’il pensait la même chose que moi, et je ne le lui ai pas demandé. Ce que je pensais, moi, c’est que j’aurais adoré qu’il me prenne par la main, qu’il m’emmène derrière la petite dune et qu’il me baise.
Nous avons rapidement compris que personne ne nous rejoindrait, et qu’il nous fallait repartir vers le bateau. J’ai voulu parler à Omar de ce qui s’était passé dans le temple, mais je ne savais pas comment commencer. Je me suis allongée sur le sable. Une fois allongée, j’ai fait glisser le haut du maillot pour découvrir mes seins. J’ai ...