Maman au concert (7)
Datte: 17/03/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: yphos, Source: Xstory
... m’embrasser goulûment.
Maman est déchaînée désormais. Elle râle et grogne de plaisir avant de jouir avec intensité.
Abattue, elle se couche contre mon torse, me mordille le cou, l’oreille et me souffle avec passion :
— Je t’aime mon chéri, je ne veux pas te perdre ! Je te veux à moi toute seule !
— Ne t’inquiète pas pour ça, maman, je t’aime trop !
— Tu es gentil mon trésor, mais demain, je sais que ma sœur va te sauter dessus !
— Rassure-toi, je vais annuler le rendez-vous si tu préfères.
— Tu es un amour ! Mais je te laisse décider par toi-même.
— Dis, maman...
— Oui ?
— Je suis toujours en toi et sens-tu comme je suis dur, tu ne veux pas continuer un peu ?
— Si si, mais autrement ...
Inutile qu’elle précise le reste de la phrase, car elle s’est redressée et pointe mon dard sur son petit trou.
Enfin, elle m’offre son anus ! Depuis le temps que j’attends ça !
Malgré la pénombre de la chambre, j’arrive à discerner les rictus de son visage quand elle tente d’ouvrir sa corolle avec mon pieu.
Elle cherche désespérément la meilleure posture et finit par s’accroupir en s’écartant ses fesses au maximum de ses deux mains.
Je l’aide (modestement) en tenant fermement ma verge qui, jusque-là, s’échappait à chaque tentative de pénétration. Maman grimace quand s’ouvre progressivement son œillet.
Elle soupire et respire profondément pour se décontracter avant de revenir à la charge.
Elle ne peut s’empêcher d’émettre un cri de douleur ...
... quand mon gland franchit sa porte secrète.
Malgré ses couinements, elle persévère avec ténacité pour m’engloutir totalement dans son conduit si serré. Il faut quand même dire que le gel lubrifiant, que lui a oint sa sœur, facilite bien les choses.
Je la laisse souffler un instant avant d’entamer de légers basculements du bassin.
Elle prend appui en posant ses mains sur mes genoux relevés. Elle contrôle ainsi la profondeur de pénétration à sa guise et mes coulissements dans son étui se font alors plus amples et plus rapides.
Quand ma queue sort malencontreusement, elle s’empresse de me la saisir pour se l’enfourner le plus profond possible. Si elle gémit, c’est maintenant de plaisir.
L’instant est fantastique, outre les sensations physiques si agréables, je suis aux anges de partager, avec cette femme sublime, la communion de nos êtres, et aussi de nos corps qui ondulent en harmonie.
Je vis un bonheur absolu d’être ainsi uni avec ma mère, cette déesse, qui s’est penchée sur mon visage pour m’embrasser avec ardeur.
Alors qu’elle est contre moi, je l’enserre fermement dans mes bras, tout en maintenant mon va-et-vient dans son fourreau. Je sens ma sève monter et en avertis maman, qui soudainement se relève, me prend la main et m’invite à quitter le lit pour la suivre.
Dès que je suis debout, elle me saisit par la queue et me guide ainsi vers le couloir obscur.
À mi-parcours, elle se retourne, m’embrasse furtivement, me masturbe un peu pour me maintenir ...