1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1187)


    Datte: 29/10/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... en chaleur...
    
    - Humm, mais je suis en face d’une vraie chienne ! Si tu savais à quel point cela peut m’exciter ! Décidément, il y en a Un qui a de la chance de posséder un tel trésor, je l’envie !
    
    Il accéléra alors ses coups de boutoirs, ses couilles bien pleines claquant sur mes fesses. Ils étaient toujours plus puissants, plus profonds. J’étais sûre qu’il ressentait à travers la fine paroi séparant mes deux orifices les vibrations du jouet qui m’encombrait. Je doutais de pouvoir tenir beaucoup plus longtemps. Je serrais mes muscles pour contenir mon plaisir mais cela me faisait ressentir les mouvements du sexe qui me besognait et les vibrations plus fortement encore. Mais je savais que si je me relâchais, ne serait-ce qu’une seconde, je ne pourrais me retenir. J’envisageais pour la première depuis très longtemps, de supplier sans savoir si j’allais demander à jouir ou à pouvoir me reprendre un peu. Ce fut à ce moment-là que les vibrations se stoppèrent me laissant un peu de répits et me permettant de retrouver un nouveau souffle. Monsieur Franck s’enfonça une dernière fois d’un coup sec, avant de rester quelques instants enfoncé en coït anal bien profond. Je l’entendais reprendre sa respiration.
    
    - Je t’avais dit la première fois que l’on s’est vu que je voulais profiter de tous ...
    ... tes orifices ! Alors ouvre la bouche en grand et surtout ne la referme sous aucun prétexte.
    
    Il se retira alors de mon trou bien dilaté et vint fourrer son membre dans ma bouche. Il l’essuya sur ma langue qu’il exigea que je tire au maximum. J’avais le goût de mes sécrétions anales dans la bouche... Puis il empoigna mes cheveux, et comme s’il se trouvait devant une pissotière, il urina directement dans ma gorge. Avaler sans fermer la bouche était compliqué, surtout qu’il ne cherchait pas à contrôler son jet et que j’avais tendance à m’étouffer. Je me sentais vraiment humiliée, l’esclave que j’étais était dans tous ses états, excitée, considérée pour moins que rien, à me faire ainsi pisser dessus. Il se recula un peu pour sortir son membre de ma bouche et ainsi les jets d’urine n’épargnaient aucunes parties de mon visage, inondant mes joues, souillant mes cheveux, investissant de nouveau ma bouche et recommençait durant tout le temps où il se vidait la vessie. Par réflexe, instinctivement je dus fermer les yeux pour éviter le contact brûlant avec eux. Je sentais la pisse à plein nez et ainsi souillée, je ne devais pas être bien jolie à voir, puante et trempée d’urine dont je gardais son goût piquant dans la bouche. Je n’étais plus qu’un urinoir et cela m’excitait davantage …
    
    (A suivre …) 
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