1. COLLECTION LESBIENNES. Ma belle-sœur me dévoile ma bisexuelle (2/7)


    Datte: 29/10/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    - Seule ma mère le savait, je suis coiffeuse et lesbienne ma chère Claudia, si tu le désir, je vais te montrer ce que je fais à ma clientèle.
    
    Je crois que Claudia souhaite me faire passer un message, lequel, en attendant de tout comprendre, sa langue prenant possession de mon clito, je sens le début d’une jouissance bien plus forte qu’à l’ordinaire monter en moi.
    
    Suis-je moi aussi une lesbienne ?
    
    C’est la question qui me vient au cerveau quand Claudia contre toute attente met sa langue sur mon clitoris.
    
    Je suis surprise, mais ça a été si soudain que je suis subjuguée.
    
    L’isolement de notre chambre et de savoir que mes enfants sont loin à cette heure me rend entièrement dépendante de ma belle-sœur.
    
    Quand souplement elle se retrouve au-dessus de moi, c’est ma propre langue qui plonge vers sa bite.
    
    Qu’est-ce que je dis ?
    
    Sa bite, non, son clitoris que je n’avais pas vu mais qui est proéminent et ressemble à une petite bite.
    
    Je sens une seconde mon clito et ma fente béante abandonnés.
    
    - Suce mon clito Josy, je vais t’expliquer.
    
    Je suce, je lèche, je me fais sucer, je me fais lécher.
    
    Je jouis surtout quand ses doigts pénètrent en moi.
    
    Elle jouit quand mes doigts pénètrent en elle.
    
    La chaleur commence à monter, je suis en eau, elle est en eau.
    
    Nous nous lovons tout de même dans les bras l’une de l’autre.
    
    Le temps de reprendre notre souffle et elle s’épanche.
    
    - Josy, tu viens de voir ma particularité physique, mon clitoris.
    
    On ...
    ... dirait un petit sexe, quand je suis née, j’ai été à deux doigts d’être déclaré garçon.
    
    Il n’en fut rien, je suis bien fille.
    
    - Je comprends, ça t’a traumatisé.
    
    - Pas du tout, comme je te l’aie dit ma clientèle aime.
    
    Tu verras j’arriverais même à te le mettre dans ton vagin et te faire jouir comme ton mâle le ferait.
    
    - Ça fait deux fois que tu parles de ta clientèle, de quoi veux-tu me parler.
    
    - J’ai plusieurs métiers, formation de coiffeuse, j’ai toujours été l’affreux petit canard de notre famille.
    
    Nul en math, j’ai bien essayé la compta, mais c’était pire.
    
    J’ai fait l’école de coiffures et j’étais doué.
    
    C’était dans les moments où j’ai assuré que j’étais lesbienne.
    
    Maman seule le savait, Jacques lui ne l’a jamais su.
    
    Quand tu as épousé mon frère et que tu lui as donné des petits enfants, surtout Benoît ton fils qui perpétue son nom, il a arrêté de me faire chier pour que je me marie.
    
    - Coiffeuse, je le vois dans cette grande glace, même si nos ébats ont un peu dérangé la coiffure que tu m’as faite.
    
    Donc tu fais autre chose.
    
    - Je rase et je taille des chattes.
    
    - Ça aussi j’ai vu.
    
    - Et tu as eu ce que je fais avec ma langue à certaines de mes clientes pour de jolies sommes d’argent.
    
    - Tu te gouines pour du fric, tu es une pute.
    
    - Exact, ça me paye mon train de vie.
    
    Si tu savais le nombre de bourges refoulées à Paris qui sont lesbiennes mais mariées pour plaire à leurs parents.
    
    Si leurs familles connaissaient leur ...
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