1. Léna (2/2)


    Datte: 29/10/2019, Catégories: fh, ffh, fbi, jeunes, copains, école, amour, Oral pénétratio, init, mélo, nostalgie, couplea3, lieuxpubl, Auteur: Filo, Source: Revebebe

    ... efforts et le plaisir évident qu’elle éprouvait, nous n’arrivions pas à provoquer d’orgasme. Elle finit par lâcher :
    
    — J’ai besoin de quelque chose de plus consistant. Vous avez des capotes ?
    — Toujours, répondit Léna qui attrapa son sac et en ressortit une poignée de préservatifs nervurés qu’elle gardait pour nos escapades.
    
    Nous nous mîmes en place assez vite : comme le lit n’était pas assez grand pour nous trois, nous rejetâmes la couverture au sol et Marie se mit à quatre pattes dessus, la tête tournée vers le matelas où Léna s’assit. Pendant que je m’équipais, Marie léchait les seins et embrassait le ventre de la blonde. Je fus prêt et je me plaçai derrière elle. J’eus une vue superbe de ce cul bien rebondi et je fus pris d’une forte envie de me voir dans son petit trou mais, raisonnable, mon gland vint se poser contre ses lèvres intimes.
    
    Malgré le latex, je sentais sa chaleur et son humidité tout au bout. Je m’enfonçai doucement et je savourai chaque centimètre parcouru jusqu’à ce que ses fesses viennent s’écraser sur mes hanches. J’étais dans Marie, je baisais Marie qui gémissait de satisfaction. Je dus réfréner une montée de sève bien trop précoce (mais prévisible) en me concentrant sur son dos que mes doigts vinrent caresser. Je commençai alors mes allers-retours que Marie accompagna de son bassin.
    
    Léna s’allongea à moitié en s’appuyant sur ses coudes ce qui libéra l’accès à son intimité. Marie s’y jeta goulûment. Je prenais un pied absolument ...
    ... monstrueux et je n’étais a priori pas le seul ! Entre deux gémissements et petits cris, Léna prenait le temps de me regarder dans les yeux, me sourire de sa manière la plus salace et désigner Marie qui perdait la tête entre ses jambes tandis que je la laminais de mes coups de reins. Son expression me lançait une réflexion muette :« On te l’a obtenue, ta Marie, et je suis sûre que tu n’aurais jamais imaginé que ce soit une telle petite dévergondée. » Je dis "dévergondée" pour être poli mais je devrais dire que Marie se comportait comme une vraie petite salope avide de sexe. J’adorais ça. Léna aussi. Marie également, visiblement.
    
    Ses cris devinrent caractéristiques de l’orgasme naissant, ce qui eut le double effet d’amener Léna au bord de sa propre jouissance et de provoquer une irrépressible montée de sève pour moi. Avec un presque parfait synchronisme, nous entamions et vivions un long orgasme simultané dans un bruyant concert de cris. Je continuai à pilonner le ventre de Marie aussi longtemps que possible afin de ne lui voler aucune seconde de plaisir. Quand le volume baissa, je finis par me retirer et me mettre debout.
    
    Alors que je venais à peine d’enlever mon préservatif rempli, Marie se jeta sur mon sexe pour le mettre en bouche pour ne pas en perdre une miette. Notez que cette pratique enlève un peu de l’intérêt de l’objet. Sa langue se faufilait partout et me donnait une bonne impression de douceur après la chaleur brûlante de son intimité. Mon érection finit tout de même ...
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