1. Abou ou l'Origine du Monde selon Youssef (1 / 3)


    Datte: 28/10/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, jeunes, couleurs, profélève, grossexe, danser, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, facial, Oral préservati, pénétratio, confession, consoler, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... buter contre ma matrice. De nouveau, un violent orgasme me saisit, je n’ai jamais précédemment eu ce sentiment d’être autant « remplie », de plénitude de femme comblée dans tous les sens du terme… Lorsque je reprends mes esprits, Abou n’a pas bougé, le sexe toujours aussi gros, aussi dur, immobile bien calé dans ma grotte.
    
    – On peut dire que tu pars vite, toi, ma coquine ! Cramponne-toi, ça va repartir !
    
    Il entreprend de puissants et réguliers allers et retours entre mes reins. Une nouvelle idée saugrenue me traverse l’esprit. C’est étrange cette manière qu’il a de me faire l’amour comme il l’entend, à son rythme, sans sembler se soucier de moi, inexorable et puissant, alors qu’il n’a que dix-neuf ans… Est-ce le reflet de son caractère, une expérience des femmes déjà importante, ou une caractéristique innée des Blacks ?
    
    Mais très rapidement, j’arrête de penser et reçois en moi ses coups de boutoir monstrueux… Et me voilà qui pars pour une troisième fois, sans qu’il arrête son pilonnage de plus en plus intensif. Et lorsqu’il se met à gronder et que je sens, à travers le préservatif, ses longs jets de semence battre contre mon utérus, je repars pour une quatrième vague en feulant. Jamais cela ne m’était arrivé de jouir ainsi quatre fois de suite. Est-ce pour cela que je m’endors comme une masse ? Ou l’alcool, le shit et la danse ? Je l’ignore, mais je me colle contre le corps d’Abou et rejoins Morphée
    
    Lorsque j’ouvre un œil, une pâle lueur glauque filtre à travers ...
    ... le rideau. Les papiers peints aux murs sont élimés et de mauvais goût. J’ai un peu mal au crâne (ça, je le sais, c’est l’alcool) et surtout l’impression qu’un bataillon m’est passé sur le ventre. Mes muscles sont endoloris comme jamais.
    
    Ma robe, ma culotte, mes escarpins traînent sur le sol. Les vêtements d’Abou sont, eux, soigneusement rangés sur la seule chaise. Il dort d’un sommeil profond sur le dos, une main posée sur mon sein. Comme je lui tourne le dos, j’essaie de me retourner sans le réveiller.
    
    Il a toujours sa petite croix argentée sur le torse. Celui-ci est glabre et, lorgnant sur son bas-ventre assez peu velu, je me demande comment on peut avoir une tignasse aussi drue et être si peu poilu sur le corps. Sa peau est tellement noire qu’elle paraît presque bleue, et le contraste de mes doigts sur sa peau me fascine… Son abdomen est du genre « tablette de chocolat », puissant et musclé. Je ne peux m’empêcher de le parcourir du dos de la main. Ma curiosité est bien entendu attirée par LA Bête, l’ayant finalement peu vue et même pas touchée lors de nos torrides ébats ; je me dis qu’il me faut tenter une reconnaissance subtile pendant qu’il ne m’impose pas son rythme infernal.
    
    Avec des ruses de sioux, j’arrive à ôter sa main de mon sein et à repousser son bras sans l’éveiller. Je rampe sur le lit pour établir mon observatoire avancé entre ses jambes assez écartées. Ses bourses sont incroyablement gonflées et pleines. Je les frôle, elles frémissent, pleines de ...
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