1. Abou ou l'Origine du Monde selon Youssef (1 / 3)


    Datte: 28/10/2019, Catégories: fh, fhh, fplusag, jeunes, couleurs, profélève, grossexe, danser, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, facial, Oral préservati, pénétratio, confession, consoler, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... reins. Je m’abandonne à son rythme, passe mes mains autour de ses épaules et frissonne. Soudain, il glisse un doigt coquin dans l’entrebâillement de mon décolleté et me glisse d’une voie rauque :
    
    — Je vois de bien jolis trésors !
    
    Je lui souris… Il me rend mon sourire… C’est vrai que de tout là haut, il peut facilement plonger les yeux dans mon soutien-gorge. Dans la pénombre, je vois surtout ses dents quand il sourit et le blanc de ses yeux, mais je sens la caresse de son regard coquin qui descend dans mon décolleté.
    
    — C’est bien dommage qu’ils soient partiellement cachés. J’aimerais bien les libérer de leur prison.
    
    L’obscurité l’empêche de voir le rouge qui me monte au front. Je susurre :
    
    — Chiche ? Est-ce bien raisonnable ?
    — La liberté rend tout plus beau, me répond-il du tac au tac, citant un texte que j’avais fait étudier en classe à propos des Incas.
    
    Je suis bluffée par sa réplique, et lui rétorque :
    
    — Mais tu dois me le dire en espagnol !
    —La libertad te hace mas linda, me répond-il.
    
    Ce qui est une traduction pour le moins lointaine, mais qui me touche droit au cœur. Vais-je parvenir à faire d’Abou un brillant hispanophone Je suis émue, et il mérite récompense. Je m’arrange donc pour me rapprocher du coin le plus isolé de la piste, prends sa main et la pose sur la fermeture éclair dans le dos de ma robe. Comprenant immédiatement l’audace de ce geste, il la fait glisser à moitié et tente de faire sauter l’agrafe. C’est bientôt à deux mains ...
    ... qu’il s’escrime sans succès.
    
    — Hum, j’aurais dû les mettre dans une prison s’ouvrant sur le devant, lui-dis-je, espiègle.
    — Chiche, me répond-il à son tour.
    
    Il faut finalement que je lui donne« un coup de main » pour qu’il vienne à bout de l’agrafe récalcitrante. Comme il n’y a pas de bretelles, il s’en saisit directement et le glisse dans sa poche, puis reviens, d’un coup de doigt fripon, fermer derrière et tirer devant pour mater« mes trésors enfin libérés »…
    
    Je me fais chatte contre lui, et ses larges paumes, jusque là plutôt sages, s’animent peu à peu… Les autres couples autour de nous flirtent aussi sans gêne.
    
    L’une de ses mains remonte le long de ma cuisse en soulevant ma robe, l’autre m’enveloppe une fesse et la masse en douceur. Les radiations que génèrent ses caresses sur ma peau reprennent, je sens mes seins durcir, leurs bouts pointent. J’éprouve des fourmillements que je connais trop bien dans le bas-ventre. Je me frotte contre lui et sens son membre durcir instantanément. Je dois lutter pour qu’il ne remonte pas ma robe jusqu’à la taille, avec sa main qui court le long de ma cuisse.
    
    Il change de stratégie, et la glisse sur mes seins, en pinçant doucement les pointes à travers le tissu. J’ai la tête qui tourne, il me porte presque, puis, tout d’un coup, me passe un bras sous les genoux, me soulève et m’emmène vers la porte de la maison. L’une de ses mains sous ma robe a même glissé sous ma culotte et glissé sur mes fesses. Il gravit les deux étages, ...
«12...456...11»