Abou ou l'Origine du Monde selon Youssef (1 / 3)
Datte: 28/10/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
jeunes,
couleurs,
profélève,
grossexe,
danser,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
consoler,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... les dessous de toutes ses conquêtes féminines comme des trophées ?
C’est alors qu’Abou a un geste qui me fait complètement craquer. Il me prend, nue, dans ses bras, je sens le tissu râpeux de son costume sur ma peau. Il se penche et m’embrasse… Un vrai baiser de cinéma, avec sa langue qui s’enfonce profondément dans ma gorge encore âpre de sa semence, qui va et qui vient comme un petit sexe. Je vacille, et il écrase son puissant abdomen et son torse contre mes seins. Lorsqu’il me relâche, j’ai la tête qui tourne, et dois m’agripper à lui.
Je me glisse sans plaisir dans ma robe chiffonnée et nous descendons… Nous croisons une femme et quelques hommes en descendant. Abou les salue, je baisse les yeux en sentant leur regard sur mon corps, et devine le sens des commentaires dans leur langue. Je retrouve le petit cabinet de toilette de la veille et m’enferme. Mon visage me fait peur : j’ai de larges cernes mauves autour des yeux, un teint de papier mâché et les cheveux en bataille. Je pare au plus pressé et, avec des kleenex, essaie de faire disparaître les traces laissées par les hommes sur ma peau. Abou frappe à la porte, nous devons rentrer !
Nous reprenons les mêmes places dans la guimbarde, et très vite les « cousins » assis à l’arrière s’endorment. Abou pose une main virile sur ma cuisse et remonte le tissu de ma robe jusqu’à l’aine… Je suis toute nue dessous. Par trois fois, Youssef tente le même geste, par trois fois, je le repousse. À la quatrième, de guerre ...
... lasse, je le laisse faire en lui demandant d’être sage… Je niche ma tête dans l’épaule accueillante d’Abou et somnole…
Je suis réveillée par des rires et des coups de klaxon. Je réalise qu’ils ont profité de mon sommeil pour remonter les pans de ma robe sur mon nombril et que j’offre ma chatte aux regards gaillards de deux hommes dans une camionnette qui roule à côté de nous… Furieuse, je rabats ma robe et tance Abou. Il est vraiment capable du pire et du meilleur. Ils s’échangent dans leur langue des commentaires et s’esclaffent.
Nous arrivons chez moi, je descends, Abou tente à nouveau le coup du baiser cinéma. Je le repousse, je lui en veux de m’avoir exhibée à mon insu, et puis je ne veux surtout pas être reconnue avec lui dans mon quartier.
Dimanche, 18 h… Je me prélasse dans mon bain. J’y ai vidé un flacon entier de sels de bain, et je sens avec volupté mes pores se libérer des restes de sperme et s’ouvrir de nouveau à la vie. Seul mon minou ressent encore la violence des assauts qu’Abou m’a fait subir Mes neurones reprennent, eux aussi, vie. Jamais je n’aurais pensé vivre une aventure de 24 h avec une telle frénésie. Jamais non plus je n’avais atteint une jouissance sexuelle aussi intense et répétée.
Je m’en veux un peu de m’être ainsi « lâchée », et d’avoir succombé comme une débutante dans les bras d’un de mes élèves noirs, à la fois séduisant, craquant, maladroit (enfin… pas au lit) et macho ! Trois ans de routines sexuelles, trois semaines d’abstinence ne ...