Ma sœur Faten. (1)
Datte: 28/10/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: zebre222, Source: Xstory
... n’importe quoi, mais m’évader. Ce n’est que lorsque j’ai senti un poids sur ma jambe que je suis revenu sur terre. Mes vêtements me collent à la peau, avec la poussière en prime, le poids qui me pesait sur la jambe et sur une partie du ventre, c’était une partie du corps de FATEN, elle était penchée sur ma mère qui, elle aussi, est penchée sur la nièce. Toutes les trois sont endormies, dans cet espace très réduit et avec cette chaleur infernale, je me demande comment elles ont pu s’endormir, à moins que ce soit la fatigue. Même celles, assises derrière, étaient endormies. J’ai essayé de bouger un peu pour jeter un coup d’œil à la sœur de mon beau-frère qui était juste derrière moi. C’était une aubaine pour moi de passer le temps en essayant de glisser ma main sur sa peau, cela me permettait d’oublier ce voyage d’enfer plus dur que le travail dans un champ pétrolier, mais il fallait le faire en douceur avec une très grande précaution, pour éviter d’être pris et surtout éviter le regard des autres, en particulier la "brute". Avec discrétion, je pris la chose en main, mais ce n’était pas facile. Il fallait que je fasse des efforts pour pouvoir remonter ma main, heureusement que FATEN dormait. Mon regard était braqué tantôt sur la fille, tantôt sur ceux de devant, son père et surtout la brute. La divorcée était penchée sur NORIA, ma main était posée sur la banquette, comme un serpent, je l’avance tout doucement, mais il m’a paru un temps énorme pour arriver à toucher sa robe et ...
... sa jambe. Il ne faisait pas encore nuit, mes doigts touchaient sa jambe et, par bonheur, entre sa jambe et la cuisse.
Je retirai ma main, mais avec des efforts considérables, ce n’était pas facile du tout de bouger dans cet espace très réduit comme si j’étais prisonnier. Mais la tentation en valut la chandelle pour moi, à cet âge-là, je n’ai pas encore couché avec une fille. Donc, je pousse ma main un peu plus loin, entre le dos du siège et son corps, en me faisant mal au bras et à la main, mais mon effort fut couronné de succès, ma main est arrivée à toucher sa peau, plus particulièrement sa fesse ou sa jambe. Un temps d’arrêt pour voir la réaction de l’adversaire et vu qu’il n’y eut aucune réaction au contact, j’ai senti mon visage devenir chaud. Je continue ma progression très, très lentement, jusqu’à ce que mon doigt touche du tissu. Je savais que c’était sa culotte. Je devins rouge comme une tomate. Tout marchait à vive allure dans mon cerveau, je ne pensais plus aux autres, c’était primordial de toucher un peu plus sa peau, d’explorer tant que j’avais l’occasion et pourquoi pas, de caresser une chatte, du moment que l’occasion était propice, mais pour le faire, il fallait que je me soulève un peu, pousser mes pieds sur le plancher, comme si j’étais debout, mais trop penché sur le corps de FATEN. En d’autres circonstances, je l’aurais pensé et non essayé.
Lorsque ma main effleura son entrejambe et, surtout, quand mon doigt a touché sa chatte, même sur le tissu, tout ...