Drague avec mes fesses (18)
Datte: 28/10/2019,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... sens au bord de l’orgasme, c’est à ce moment qu’elle pousse ma tête vers le bas. Je comprends ce qu’elle veut, retarder le plus possible son orgasme pour en augmenter l’intensité. De moi-même, dès que je sens qu’elle va jouir, je redescends sur sa vulve et son périnée. Au bout de dix bonnes minutes, je commence à avoir un peu mal à la langue, elle fatigue. Je continue quand même, mais cette fois, quand je sens qu’elle va jouir je n’ai pas le temps de redescendre, elle me prend la tête et l’immobilise sur son clitoris. Elle explose dans un gigantesque orgasme, son corps est secoué de multiples soubresauts, il glisse sur la chaise, je suis obligée de la retenir pour l’empêcher de passer sous la table. Quand je la sens plus calme, je sors de sous la table, Sandrine est toujours sous le joug de Flic, ce qui ne semble pas la gêner. Elodie m’attire à elle pour m’embrasser tendrement.
–Merci, c’était super.
Je me remets à table, Hector est toujours entre les jambes de Carole qui a son énième orgasme. Elle finit par le repousser, se tourne vers moi pour m’embrasser avec amour. Sandrine nous rejoint, libérée par Flic. Les deux chiens retournent dans leurs coins pour se lécher la bite nous laissant continuer notre repas. Le repas est agréable, juste assombri pour moi par le fait que Carole doive repartir demain très tôt pour son travail. Nous décidons, en concertation avec Sandrine et Elodie, de rentrer demain soir à Paris, je ne veux pas forcer Carole à faire la route tous ...
... les jours.
Cathy donne une autre chambre pour Elodie et Sandrine, elle comprend que nous préférons rester seules pour la nuit. Nous nous couchons, Carole se plaque contre moi.
–Notre première nuit de couple, je t’aime.
–Je t’aime.
Nous nous embrassons tendrement, nous n’en sommes pas à l’exubérance, c’est la douceur qui l’emporte, la recherche du plaisir de l’autre avant le nôtre. Faire exulter le corps de l’aimée en se donnant sans arrière-pensée et recevoir la même chose de l’autre. S’aimer. Je me donne de tout mon être, de toutes mes forces à cet amour naissant, je ne pensais pas pouvoir tant donner, juste pour le plaisir de donner, de rendre heureuse cette femme qui occupe de plus en plus de place dans mon cœur. La nuit est douce, heureuse, pleine d’amour.
Nous nous levons très tôt le lendemain, Carole doit partir travailler, quand elle est sous la douche, je m’agenouille devant elle pour la faire jouir une dernière fois avant qu’elle ne me quitte jusqu’à ce soir. Elle enfile un corsage et une jupe moulante, sans sous-vêtement. Après un rapide café, je l’accompagne jusqu’à sa voiture, elle s’immobilise.
–Je rentre le plus tôt possible, j’espère vers dix-sept heures trente.
–Je serais là.
Elle entre dans sa voiture, ouvre sa vitre, m’embrasse une dernière fois et s’éloigne lentement, comme à regret, en me faisant des signes de la main. Je retourne à la maison, Cathy s’est levée, elle prépare le petit déjeuner.
–Carole est partie ?
–Oui, on se ...