1. Quand ça dérape


    Datte: 28/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Chris06, Source: Hds

    ... seule, ton cul appelle ma bite.
    
    -Vas y doucement, j'ai pas été passif depuis longtemps, et jamais avec une aussi grosse queue.
    
    -Je vais y aller comme je dois y aller petit pd, ta meuf est une chienne et toi t'es encore pire, tu vas te faire démonter devant elle, pendant qu'elle se fait remplir elle aussi, un vrai petit couple de putes.
    
    Là dessus il se mit à forcer avec son gland sur ma rondelle, qui finit par céder, avalant presque la moitié de sa bite d'un coup. Je ne pu retenir un hurlement, causé par la douleur mais aussi la surprise d'avoir pu accepter son chibre, et le plaisir des sensations que je redécouvrais avec bonheur.
    
    Du coin de l'oeil je vis que le quatuor du canapé avait interrompu ses activités pour découvrir que j'étais en train de me faire fendre le cul par une bite exceptionnelle, et dont le propriétaire n'était pas en reste, car il savait l'utiliser, jauger le seuil de résistance de son passif et le troncher en conséquence. J'oubliais presque que Sam était à trois mètres de moi en train de se faire prendre par tous les trous, je ne ...
    ... vivais plus que pour la bite de Franck dans mes entrailles, qui me lopait avec joie et application, me faisant crier encore plus que ma copine, et me claquant le cul si fort que j'étais sur d'avoir les marques pendant une semaine au moins.
    
    Néanmoins cette baise ne dura pas assez longtemps à mon goût, il se retira de mon cul, y laissant entrer un courant d'air qui me fit réaliser que j'avais le cul complètement béant, et me fis mettre à genou, avant de gicler 5 jets de sperme épais et chaud sur mon visage, qui coula sur ma chemise et le sol, qu'il me fit lécher, disant qu'il était impoli de gaspiller, puis il me laissa là, avant de se diriger vers la salle de bain.
    
    Je n'avais donc plus qu'à attendre que les trois mousquetaires en aient fini avec ma chérie, ce qui ne tarda pas, chacun se vida dans le trou qui lui était attribué, puis ils allèrent tout se doucher, non sans nous avoir remercié et raccompagnés à la porte.
    
    C'est donc chancelants, ivres, puant le sperme et la sueur et les orifices béants que nous sommes rentrés chez nous, exténués de cette soirée. 
«1234»