1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. Confession perverse (1/1)


    Datte: 27/10/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... l’es, je serais juste à la hauteur de ta bouche.
    
    - Rassurez-moi, votre étole vous cache toujours !
    
    Sinon je croirais que vous cherchez à ce que je vous fasse une fellation.
    
    - Marie, tu es trop suspicieuse, je commence à comprendre que ce que tu as à te faire pardonner, aie énorme.
    
    Si tu crois t’en sortir avec deux ou trois paters et deux Avé Maria tu te trompes.
    
    - Je vous fais voir, je l’ai prise comme ça, j’ai hésité avant de la mettre dans ma bouche, mais vous croyez que c’est bien de refaire ce que j’ai du mal à oublier !
    
    C’est pour cela que je suis venue me confesser.
    
    - Suce salope, tu parleras plus tard, tu crois que tu peux faire bander les hommes et les laisser dans cet état.
    
    - Avec le boulanger, je me suis arrêtée avant, la porte de la boutique à sonner, nous nous sommes séparés.
    
    - Monsieur le curé, c’est fou comme la vôtre est grosse, vous permettez que je vous masturbe en même temps que je vous lèche vos couilles.
    
    - Tu as raison, fais-moi voir contrairement à ta boulangerie, ici personne ne va nous déranger, tu suces divinement.
    
    Dis-moi, le fais-tu avec Roland ?
    
    - Non, Roland, le soir de nos noces, il m’a fait coucher sur le lit en relevant simplement ma robe de mariée et il est entré en moi.
    
    - As-tu aimé ?
    
    - J’ai eu mal, mais maintenant ça va, de toute façon il n’est là que les vendredis soir, samedis et dimanches.
    
    Il repart les lundis pour son chantier sur l’autoroute à 200 kilomètres d’ici.
    
    - Il te laisse seule ...
    ... toute la semaine.
    
    Tu suces divinement Marie, ton mari est con de simplement te pénétrer.
    
    Attention, je vais décharger.
    
    - Vous êtes sûr que ce que vous avez dit sur votre invisibilité reste d’actualité !
    
    Pourtant je vous sens toucher ma glotte, non, attendez, il faut que je reprenne mon souffle !
    
    - L’étole ma fille, l’étole.
    
    Ah. Ah. Ahhhh.
    
    Je reprends mon souffle, ça va bien, encore une petite salope qui croit au coup de l’étole qui les caches de mon corps.
    
    Ils me font chier à l’archevêché, j’étais pénard depuis des années dans mon village précédent.
    
    Je connaissais toutes les salopes du village, l’ensemble des putes mal baisé.
    
    Je rétablissais l’équilibre sexuel du village, j’aidais même à sa survie en entretenant le nombre d’habitants.
    
    Il était courant qu’à un enterrement, j’équilibre par un baptême dans les semaines suivantes.
    
    J’aimais le regard de ces salopes de paroissiennes quand elles me tendaient le fruit de nos ébats.
    
    Si comme avec Marie, je commence par une fellation, rapidement je vais passer à l’étape suivante.
    
    - C’est bien Marie, j’ai vu l’étendue du problème, si j’ai bien compris tu es seule à partir de lundi.
    
    - Oui, monsieur le curé.
    
    - À quelle heure ton mari part-il ?
    
    - Quatre heures, ils passent le chercher avec leur mini-car à cette heure là.
    
    - Mais dit moi, ton mari, il est seul à travailler sur ce chantier.
    
    - Non, de notre village, ils sont cinq.
    
    - Et leurs femmes sont seules comme toi pendant la semaine ...