1. Les filles organisent une compétition très spéciale. (1)


    Datte: 17/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    On dit que les hommes ne pensent qu’à ça, que dès qu’ils voient un beau cul ou une belle poitrine, la seule chose à laquelle ils pensent : est-ce qu’elle est bonne ?
    
    Mais le plus souvent, ils n’ont pas de couilles, euuuhhh... Je veux dire pas le courage d’aller plus loin.
    
    Et quand ils sont entre eux, à part parler de leur grosse voiture et de foot, ça ne vole pas haut ! (Au-dessus de la ceinture), ils vantent leurs exploits mais ne parlent pas entre eux de leur nana comme de leur salaire : Sujets tabous.
    
    Ils ont trop peur de passer pour des fanfarons ou pire, des ratés.
    
    Nous les nénettes, nous ne sommes pas comme ça, on adore parler de nos fringues, de nos belles chaussures et de tout ce que nous possédons pour en mettre plein la vue aux copines. Et le sujet que nous adorons aborder, c’est celui concernant nos Jules et leurs performances (au lit).
    
    Nous sommes une bande de six filles entre 18 et 26 ans, toutes « en main » sauf Ly, la plus jeune d’entre nous d’origine asiatique. Elle est toute menue, 45 kilos toute mouillée, on dirait une poupée.
    
    Il y a Juliette, une belle rousse et son copain Roméo.
    
    Yseult, une grande blonde avec une poitrine très généreuse et sa grande bouche qui est avec Tristan.
    
    Bonnie, la plus sportive d’entre nous, cheveux noirs et corps sculpté par le sport qui ne jure que par Clyde.
    
    Virginie, la plus portée sur le sexe, très grande et son mari Paul, un noir encore plus grand qu’elle.
    
    Et bien sûr moi, Léna, que vous ...
    ... connaissez déjà. J’ai un petit copain, Jérôme, mais il a dû accepter avec résignation s’il ne voulait pas me perdre, que je le trompe de temps en temps avec Claude. Il s’est fait une raison car il sait qu’il ne peut pas lutter contre le lien qui me lie à mon frère et que je ne risque pas de l’épouser. Je l’ai mis au courant dès le début de la vie dissolue de ma drôle de famille.
    
    Nous sommes chez Juliette. Nous parlons chiffons et la discussion tourne maintenant sur les sous-vêtements, elle nous montre ses déshabillés vaporeux, d’autres tenues qui ne doivent rien cacher de son anatomie quand elle les porte.
    
    — Tu dois bien chauffer Roméo quand tu enfiles ça, s’exclame Virginie, il doit bander comme un taureau !
    
    — Je suis sûre que tu as des choses encore plus sexy, lui rétorque Juliette, et que tu dois remuer du popotin pour faire bander aussi Paul. Tu ne nous as jamais dit d’ailleurs si la légende sur les noirs est vraie, il est vraiment monté gros Paul ?
    
    — Tout dépend de ce que tu entends par là, mais je suis certaine qu’il foutrait la honte à tous vos Jules !
    
    Yseult se mêle à la conversation :
    
    — Ça, c’est toi qui l’affirmes, je demande à voir !
    
    — Chiche ! Lance Virginie.
    
    — Chiche ! Répètent les autres.
    
    Bonnie prend la parole en fille ayant bien les pieds sur terre :
    
    — C’est bien beau tout ça, mais il faut mettre les choses au point :
    
    1) Il faut décider nos hommes, mais je crois que vous êtes capables d’y arriver !
    
    2) Trouver un lieu, la maison de ...
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