1. L'EMPRISE...


    Datte: 17/03/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... l’on débouche. Tout de suite après, j’emmitouflais ma queue dans la dentelle de la vieille et finis ma branlette jusqu‘à la jouissance, propulsant cette dernière à l’intérieur du sous-vêtement, en gémissant généreuse comme si je le partageais avec elle.
    
    Mon excitation fondu, je me sentais un peu con dans cette tenue devant les yeux de la vieille. Je m’empressais de me mettre à l’abri à l’intérieur de chez moi. Et bien sûr de tout remettre à leur place. La dentelle de la vieille dans le panier, mon masturbateur dans ma table de nuit, le string sur la chaise. Mais alors que je m’apprêtais à rejoindre le salon, je perçus un bruit de porte qu’en ferme, celle de la buanderie pour être plus précis. Le temps de me passer le short et j’allais aux nouvelles. Fait extraordinaire, la dentelle noire avait disparut du haut de la pile de linge sale. Étant seul avec la vieille à cet instant de la journée, la déduction était vite fait. Elle avait repris son bien. Mais quoi en faire ?
    
    J’avais tout au moins ma petite idée en tête. Pour le savoir, je m’étais empressé de grimper les escaliers de service deux par deux. Alors que j’arrivais sur le palier je la vis seulement sortir de l’ascenseur et emprunter le couloir qui allait la mener jusqu’à sa chambre. J’attendis qu’elle disparaisse de ma vue pour m’engager dans le même couloir, à pas de velours jusqu‘à arrivée au chambranle de la pièce où elle se trouvait.
    
    Je risquais un œil pour la voir assise devant son écran de télévision en ...
    ... train de mâchouiller sa culotte. Il n’y avait aucun doute sur ce qu’elle faisait. Elle récupérait ma jouissance à travers les mailles de la culotte en la suçotant.
    
    Je sentais de nouveau monter en moi, une sourde excitation. Plus forte que celle que j’avais éprouvée quelques minutes plus tôt. Piquant mon vice comme une drogue. À me faire sortir de ma planque pour me retrouver en face d’elle. Elle mit un certain temps avant de s’apercevoir de ma présence. Tant son attention était transportée par ce qu’elle faisait. Qu’en enfin, elle s’aperçut de mon être, cela la fit sursauter.
    
    - Que faite vous là ? S’injuria-t-elle.
    
    - Je vous regardais tout bonnement.
    
    - Et qu’est-ce qui vous autorise à me regarder ? Vous êtes fou ! s’écria madame.
    
    Attendez un peu que je vois votre dame.
    
    - Vous voulez que j’aille raconter à votre petite famille comment vous passer vos après-midi. Répliquais-je.
    
    Elle accusa le coup, resta un temps muet, avant d’émettre :
    
    - Pourquoi faites-vous cela ! C’est malhonnête de faire cela à une vieille femme, fit-elle d’une voix chevrotante. Un tic secouait sa paupière. Je peux vous donner de l’argent, si vous voulez, mais laissez-moi. Je vous en supplie.
    
    - Je ne veux pas de votre fric ! Je veux juste m’amuser un peu avec vous. Fis-je, en défaisant la boucle de mon short.
    
    - Oh ! Que vous apprêtez-vous à faire ?
    
    - Mon petit doigt me dit que vous aimez mon lait…
    
    - Pardon ! Que dite vous là ?
    
    - Vous avez très bien compris madame. ...