1. ANACONDA


    Datte: 26/10/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... imagination, ma chatte s'ouvrait et devenait humide. Plus j'étais chaude, plus j'étais certaine d'oser tenter le séduire.
    
    Jérémie m'a appelé vers 22 heures. Ils avaient remporté leur match de basket. Je me suis excusée de mon absence. Il est si gentil et si doux au lit. Parfois, les garçons deviennent sauvages quand ils sont couchés sur une fille, mais pas lui. J'aimais bien être avec lui, pas seulement pour rendre jalouses toutes mes copines, mais parce qu'il était agréable au lit.
    
    Ça m'avait pris trois semaines pour le piquer à la fille avec qui il sortait. Mais j'étais récompensée de mes efforts. Je l'avais dépucelé et maintenant il me mangeait dans la main.
    
    Il voulait venir me rejoindre. Comme les Daviers ne devaient pas rentrer tôt chez eux, c'était possible mais ça gâchait mes plans.
    
    Je lui ai dit que M. Daviers m'avait conduite ici sans que je regarde l'adresse, que leur maison était protégée par un système de vidéo-surveillance, et que je ne savais pas sortir du périmètre.
    
    Il y a cru. C'était aussi bien, a-t-il dit, puisqu'il devait aussi se qualifier pour les finales. Ce qu'il ne savait pas, c'est que j'avais besoin d'avoir les coudées franches pour faire tomber le collègue de mon père dans mes filets.
    
    L'anaconda et sa femme sont rentrés chez eux un peu après minuit. Leur sourire et leur mine réjouie me disaient qu'ils avaient passé une bonne soirée. Après avoir vérifié si tout allait bien du côté des enfants endormis, ils sont revenus dans le ...
    ... salon. Mme Daviers était si belle et si élégante que je me sentais complètement minable à côté d'elle.
    
    Impossible que son mari s'intéresse à moi. C'est aussi pour cela que je souhaitais lui prendre.
    
    Un peu ivre, elle me paya en ajoutant un pourboire. Elle a souhaité une bonne nuit à son mari en l'embrassant et en lui disant qu'elle se sentait trop fatiguée pour l'attendre.
    
    Nous sommes montés dans la luxueuse berline. Mon cœur battait la chamade assise seule à côté de lui. Je m'étais installée de guingois, orientée vers lui, admirant son profil. Il était si beau. Fin de la trentaine. Grand. Athlétique. Riche. Je croisais mes jambes.
    
    Je mouillais ma culotte en me remémorant son beau corps d'athlète en maillot de bain.
    
    La journée passée au lac l'été précédent avait enflammée mon fantasme. Tout en lui me plaisait. Sa taille, sa carrure, la cambrure de ses reins puissants, mais surtout la bosse de son maillot de bain. Ce renflement avait éveillé mes sens et je brûlais de désir pour lui.
    
    J'avais osé, ce jour-là, m'asseoir face à lui en écartant les jambes. J'avais attrapé son regard sur moi, sur mon bikini mouillé qui dessinait ma chatte. J'avais ouvert un peu plus mes cuisses pour qu'il comprenne bien que c'était pour lui, que j'étais à lui s'il le désirait, mais il avait rompu le contact visuel.
    
    Mais ici, nous étions seuls, il était tard, il était fatigué, ses défenses étaient émoussées par la bonne soirée qu'il avait passé avec sa femme, je devais le séduire sans ...
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