1. Thé dansant


    Datte: 25/10/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, inconnu, nympho, boitenuit, voiture, collection, BDSM / Fétichisme pied, chaussures, Oral confession, bourge, Auteur: Scorpiondeluxe, Source: Revebebe

    ... côté d’une jolie brunette en cuissardes avec qui j’essayai bien maladroitement d’entamer la conversation – le niveau sonore n’aidant pas… Pas de chance : elle me fit rapidement comprendre qu’elle était venue avec un « ami », lequel ami était en train de revenir du bar avec deux coupes de champagne… Ça commençait pas terrible, heureusement le DJ mit une musique « disco », ce qui provoqua un afflux certain sur la piste de danse.
    
    L’alcool aidant, je me dirigeai vers ledance-floor pour me mettre dans le rythme. Je voulais « allumer », soutenir le regard d’une femme, puis d’une autre, bref, m’amuser. Je pris d’ailleurs un malin plaisir à me déhancher de manière exagérée, histoire de montrer que je n’avais pas de rhumatismes comme j’imagine la plupart des hommes qui fréquentaient cet établissement… C’était assez grisant de côtoyer ces belles bourgeoises divorcées, délaissées, délurées et pour certaines, j’imagine, en vrai manque d’amour et de sexe… De belles chaudasses, oui… Puis la musique disco se changea en bal musette et je saisis l’occasion pour me rasseoir.
    
    C’est alors que je vis Brigitte. Elle devait avoir la bonne cinquantaine, belle blonde platine, habillée en robe noire moulante qui soulignait ses seins comme des obus, des bas noirs couture, des escarpins à hauts talons vertigineux noirs vernis, une petite chaîne en or à la cheville, des bagues en veux-tu en voilà, bref, une certaine image de la bourgeoise « salope », une « demi-mondaine » quoi. À l’époque, il ...
    ... était autorisé de fumer, et sa fine cigarette rajoutait au côté femme fatale. Ni une ni deux, mon regard croisant le sien, je m’installai à côté d’elle et commençai à engager la conversation en la complimentant d’abord sur sa toilette et surtout son parfum que je trouvais « envoûtant »… Elle me demanda comment je m’appelais, puis on commença à converser aimablement. Bien entendu, je lui proposai de lui offrir une coupe de champagne – ce qu’elle ne refusa pas – et j’avoue que sa manière de croiser les jambes quasiment en me frôlant la jambe avait le don de m’exciter au plus haut point… Peu à peu, l’alcool aidant, je rapprochai ma main de son épaule, comme pour me mettre plus à l’aise, et elle se laissa faire. On jouait à se provoquer. C’était grisant. Je commençais à sérieusement bander dans mon pantalon… Puis le DJ mit un slow et je l’invitai à danser.
    
    Elle devait avoir des talons de quinze centimètres au moins, et à la serrer contre moi pour danser, je sentis son parfum m’envahir… Mes mains, d’abord sur ses hanches, descendaient au fur et à mesure du rythme sur ses fesses puis sur le haut de ses cuisses, où je sentis l’empreinte de jarretelles… Elle me susurra au creux de l’oreille un « ça te plait, on dirait… » qui n’eut pour seul effet que de tendre un peu plus mon membre déjà bien à l’étroit dans mon pantalon. Elle avait compris qu’elle pouvait s’amuser avec moi et elle en profitait… Elle se colla ensuite contre moi, ses seins lourds qui s’écrasaient contre mon torse, elle ...