1. L'invitée (partie 8), La dernière nuit


    Datte: 25/10/2019, Catégories: Sexe Interracial Auteur: tom2lyon, Source: xHamster

    ... que la saison est propice au superficiel et à l’admiration de la plastique de ces dames.
    
    - Ah ouais la petite tismé là, j’avoue je la tartine à l’aise là-celle, en plus tu sens elle veut, opiné-je avec un sourire entendu. Pourquoi t’attaques pas toi aussi ?
    
    - No zob in job, tu connais la règle, me répond-il en cachant un sourire. Non en vrai nique cette règle, si je sens qu’il y a moyen je fonce, mais elle a l’air accro à son mec, tout le temps au tel avec lui. Après tu me diras ça veut rien dire.
    
    - Bah de toute façon tu fais tes bayes j’me fais pas de soucis.
    
    Stef est célibataire, ce qui fait que bien qu’on ait le même âge il utilise des applis pour lesquelles je me suis marié quelques années plus tôt. Il écume tinder et enchaîne les conquêtes sans lendemain, qu’il se plaît à me détailler lors de nos pauses cigarettes. De mon côté je n’ai jamais installé ce genre de programmes sur mon téléphone, si j’ai profité de la situation avec Saoussen et que j’ai sauté sur l’occasion, je n’ai jamais fait de démarches formelles pour tromper ma femme en allant draguer que ce soit en réalité ou en virtuel. En fait avant notre invitée j’étais plutôt un gars modèle en matière de fidélité. Je mattais, je fantasmais, je regardais du porno, mais ça n’allait pas plus loin. C’est pour cela que l’histoire avec Saoussen me paraissait d’autant plus excitante, comme mettre un poulet rôti bien fumant sous le nez de quelqu’un qui sort de régime forcé, impossible de résister à la tentation. ...
    ... Oui, je sais, la comparaison n’est pas glorieuse mais je me serais régalé de cuisses, que ce soit celles de la volaille ou celles de la pharmacienne. Ces pensées carnivores me ramènent rapidement à l’évocation mentale du corps de Saoussen, je suis déçu de ne pas pouvoir en profiter une dernière fois avant son départ, sa chienneté va me manquer.
    
    - T’as l’air ailleurs là Kamal, qu’est-ce qui t’arrive ?
    
    - Non tranquille t’inquiète, je pensais juste à un truc. Gars, tu devrais voir la meuf que ma femme à ramené à la maison. Un avion de chasse.
    
    - 3endek, me dit-il en rigolant, laisse pas traîner les yeux trop longtemps, je connais Hanane elle va te les crever si elle voit qu’ils se baladent trop.
    
    - T’inquiète, je suis discret frère, tu connais, lui répond-je. Mais je t’avoue que si j’étais pas marié…
    
    - T’as envie de mourir jeune toi, fais pas de dinguerie ou tu vas te faire défoncer.
    
    - J’rigole wesh, le rassuré-je d’un ton apaisant tout en me remémorant mes mains sur le corps de Saoussen avec une nostalgie anticipée.
    
    La fin de journée se passe au ralenti, un vendredi après-midi d’été en pleine fournaise, aucune raison de forcer le travail. Je quitte le bureau et prends le métro qui me ramène à la maison. A peine rentré mes enfants me sautent dans les bras et m’accablent de questions dans tous les sens, c’est vrai que je les ai peu vus ces jours-ci et que j’ai autant envie de profiter d’eux qu’ils ont envie de profiter de moi. Je les emmène donc dans le jardin ...
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