Les stagiaires - 1
Datte: 25/10/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
jeunes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
69,
fdanus,
tante,
Auteur: Kristal, Source: Revebebe
... aussi, avec quelques rêves coquins. Mais bon…
Assis face à moi, il se met à dévorer son déjeuner, mais ses yeux brillants ne me quittent pas et semblent dire que c’est moi qu’il aimerait croquer. De mon côté, j’avoue que je me complais à l’admirer discrètement. C’est vraiment un très beau jeune homme ! Mon esprit se met à vagabonder en revivant ma découverte de la veille. Je repense à cette virilité dressée pour moi, à ces instants d’égarement, à ce pieu magnifique au fond de ma gorge. À l’instant même, c’est profondément enfoncé dans mon ventre que je voudrais le sentir ! De longs et puissants va-et-vient qui me combleraient de plaisir. D’un autre côté, ma conscience m’interdit de renouveler cette folie, avec mon neveu qui plus est ! Si ma belle-sœur pouvait se douter…
Son petit déjeuner englouti, Florent remonte prendre sa douche. Un petit quart d’heure après, il repasse sur la terrasse, prêt à partir.
— Kris, tu sais que nous parlions d’une sortie avec Alain, hier. Cela te dérange si, à la fin du travail, nous nous réunissons ici avec deux ou trois stagiaires pour terminer d’organiser notre week-end ?
— Pas du tout ; fais comme chez toi, ce n’est pas la place qui manque.
— Merci. Alors, à ce soir.
Il disparaît en chantonnant. Je me retrouve seule pour la journée. Vers quinze heures j’entends des voix, des rires, et le portail s’ouvrir. Florent arrive, accompagné de deux garçons et d’une jeune fille. Il fait rapidement les présentations :
— Kris, ma tante. ...
... Amélie, François et David, des camarades stagiaires comme moi.
Après m’avoir tous fait la bise, ils s’installent autour de la table de la terrasse. Moi, je me laisse aller dans un fauteuil tout en les observant derrière mes lunettes de soleil. Amélie, jolie brunette, doit avoir une vingtaine d’années. Mince mais la poitrine opulente, une cambrure de reins agréable ; elle ne doit pas manquer de soupirants. D’ailleurs, François la dévore des yeux ! Brun, lui aussi, plus petit que Florent, plus musclé aussi me semble-t-il. Quant à David, c’est un grand blond à la carrure de Viking, un regard clair et un sourire craquant.
Ils discutent en riant comme des enfants, préparant l’itinéraire de leur sortie, les lieux de halte, etc. Je me lève pour aller leur chercher à boire et reviens avec un plateau sur lequel j’ai disposé des verres et plusieurs boîtes de boissons diverses.
— Tenez, les jeunes, servez-vous si vous avez soif.
— Merci Kris ! me répond Florent.
— Merci, Madame, ajoutent les autres en chœur.
— Lorsque vous aurez terminé votre projet de sortie, vous pourrez piquer une tête : la piscine est toute à vous.
— Super ! répond Florent, nous allons en profiter.
— Je n’ai pas de maillot ! s’écrie Amélie, le regard triste.
— Moi non plus, complète David.
— Amélie, je te prête l’un des miens si tu veux ; viens dans ma chambre. Mais toi, David, je ne peux rien pour toi : je t’imagine mal avec un bikini…
C’est un éclat de rire général. Amélie se lève ; je surprends ...