Annie Apprend à la Dure - Histoires de Sexe

Annie Apprend à la Dure

... salaud la troublait. Elle avait toujours été une femme dominante et ce renversement de rôle l'excitait. Marie passa l'après midi à la maison si bien qu'Annie ne pu trouver de satisfaction avec sa passion préférée (le porno). On dit que la nuit porte conseil aussi Annie mit le dicton en pratique et quand Marie sortit de la maison elle en profita pour appeler Bill. Il prit plaisir à la faire attendre.

Bill : Oui bonjour. Annie : Mr. Dickson c'est Annie j'aimerais retourner au travail. Bill : Écoute Annie je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée, tu n'es pas en mesure de satisfaire mes besoins, je suis très dominant et quand je donne un ordre j'exige l'exécution immédiat. Ce serait trop difficile pour toi, tu es une rebelle Annie. Restons en bon terme car on aura sûrement l'occasion de se revoir si je prends ta sœur en charge. Annie : S.V.P. Mr. Dickson je serai une bonne employée, je ne m'occuperai plus du syndicat, Annie murmura : Je ferai tout ce que vous voulez. J'ai besoin de cet emploie. Bill : Je n'ai pas bien compris, peux-tu répéter. Annie rageait, elle savait ce qu'il voulait entendre mais elle ne pouvait plus reculer. Annie : Je ferai tout ce que vous voulez.

Bill : Bon je vais réfléchir à ta proposition et prendre une décision cette semaine je te rappellerai. Puis ce fut le silence, Annie raccrocha à son tour. Annie s'était mise à genoux mais elle se retrouvait toujours dans l'incertitude. Il l'avait rabaissé encore une fois mais elle n'y comprenait rien, ...

... elle se sentait dominée par cet individu et sa chatte mouillait en y pensant. Un désir d'abandon transperça Annie et elle chancela à l'idée d'obéir aux ordres de Mr. Dickson, elle glissa sa main dans sa culotte, jamais elle n'avait été aussi poisseuse et la pensée d'être écartelée et pénétrée par sa grosse bite noire augmenta l'intensité de son plaisir. La libération était imminente quand soudain Marie ouvrit la porte. Elle n'eut qu'un instant pour rabattre sa jupe laissant sa culotte rabaissée sur ses cuisses. Marie trouva étrange la façon de marcher de sa sœur quand elle la vit monter à sa chambre.

Le reste de la semaine lui parut long aussi quand elle vit que la journée du vendredi s'achevait et qu'elle n'avait toujours pas reçu d'appel de Bill, elle commença à faire les cents pas. Marie lui demanda qu'est-ce qui la tourmentait à ce point mais Annie préférait ne pas lui en parler. Annie sursauta quand elle entendit le téléphone sonné et se précipita pour répondre avant sa sœur. Annie : Oui bonjour. Bill : Bill Dickson a l'appareil, comment vas-tu? Annie : Bien monsieur. Bill : J'ai bien réfléchie à ta demande et je veux bien te laisser une chance de me prouver ton dévouement.

Lundi présentes toi au travail mais bien entendu il y a des conditions, tu dois t'en douter. Annie : Oui monsieur je m'en attendais, les quelles? Bill : Premièrement, je te veux en jupe courte et demande à ta sœur qu'elle te prête son ruban noir, tu seras très mignonne avec une queue de cheval. ...