Laurence et le mari de la nounou - Histoires de Sexe

Laurence et le mari de la nounou

... avec Laurence.

J’habite une grande maison avec une grande piscine dans le sud de la France. Mon terrain est très grand et clôturé par des hauts murs, ce qui ne permet pas d’être vu par le voisinage. En cette après-midi d’été, ma femme décide d’aller promener Tom dans un grand parc au bord du Rhône et part en début d’après-midi avec la voiture. Aujourd’hui, je ne travaille pas et j’ai envie de flemmarder et de profiter de ma piscine.

Ma femme et moi avons pris l’habitude de nous baigner nus car nous ne pouvons pas être vus. Je vous le conseille si vous le pouvez, car le frémissement de l’air et de l’eau éveillent des sensations proches de l’érotisme. Je nage depuis plus d’une demi-heure, m’étends sur le matelas pneumatique. Mon sexe qui n’a que la caresse du soleil est bien sage, retombé sur ma cuisse gauche. Je ferme les yeux et dans ma tête je pense à Laurence, à sa beauté, à son corps merveilleux que j’aimerais étreindre, à ses mains que j’aimerais sentir sur mon corps et toutes ces pensées me provoquent une superbe érection.

Je vais m’étendre nu sur le bain de soleil en tissu blanc pour continuer à vivre ce rêve éveillé. Je passe mes mains sur ma verge durcie et me masturbe doucement. Soudain j’entends le portail coulissant de la propriété s’ouvrir. Je suis surpris car je sais que ma femme est partie pour l’après-midi. En réalité, c’est Laurence qui entre et se dirige vers la maison. Nous lui avons communiqué le code clavier pour entrer sans être obligée de ...

... sonner au portail chaque fois.

Très vite, je pose une serviette sur mon sexe et j’appelle Laurence pour lui dire que ma femme et son fils ne sont pas à la maison. Je l’invite à me rejoindre au bord de la piscine.

— Comme il fait trop beau et chaud, j’ai posé mon après-midi RTT et je viens récupérer Tom.

Je lui donne la raison pour laquelle son fils est absent et je l’invite à l’attendre ici si elle le souhaite, ce qu’elle accepte aussitôt, nullement gênée par le fait de ma tenue un peu négligée. Elle va chercher une chaise longue et s’installe à côté de moi afin que nous puissions discuter. Heureusement, mon érection est retombée et ne déforme plus la serviette mais je surprends à plusieurs reprises son regard vers le dernier rempart de ma nudité.

Nous parlons de son travail, de sa vie et je ne peux résister à la draguer courtoisement en lui faisant des compliments sur ses tenues que j’aimais découvrir chaque jour. Aujourd’hui, elle porte une robe blanche assez courte, robe qui se ferme – je dirais mieux : qui s’ouvre – grâce à une série de boutons du haut en bas. Mais la coquine, pour des raisons de commodité, a défait celui du haut et les deux derniers du bas, ce qui lui donne plus d’aisance pour s’asseoir.

Elle est tout près de moi et je devine la naissance de ses seins à travers sa robe légèrement entrouverte mais, quand elle se penche, je vois qu’elle porte un soutien-gorge blanc. Je suis un peu déçu car j’aurais aimé avoir le même spectacle qu’elle m’avait ...