1. Ma femme se libère (3)


    Datte: 23/10/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: histoiresx75, Source: Xstory

    Elodie était estomaquée d’entendre son patron lui parler de cette manière. Les sentiments de colère et de peur se mêlaient dans sa tête.
    
    — Ecoutez Marc, je vous demande de bien vouloir oublier tout cela. Vous savez ce que c’est, on dit des choses stupides lorsque l’on est excitée et que l’on veut émoustiller son conjoint. Il s’agissait d’un simple jeu stupide, je le reconnais. Je vous serais très reconnaissante de me supprimer cet enregistrement, et que nous reprenions une relation de travail normale, comme si tout cela ne s’était passé.
    
    — Elodie, je veux bien passer à autre chose et oublier cette histoire. En revanche, sachez que je n’ai pas une « petite bite » comme vous le prétendiez. Je ne suis pas non plus un pervers vicelard qui passe son temps à vous désirer contrairement à ce que vous avez dit à votre mari.
    
    — Je le sais bien Marc... enfin, je sais bien que vous n’êtes pas un vicieux... j’ai dit ça uniquement ... enfin vous avez compris...
    
    — Oui, j’ai compris, merci, vous pouvez disposer. Je supprime cet enregistrement.
    
    — Merci mille fois Marc.
    
    De retour dans son bureau, Elodie ne tenait plus sur ses jambes. Le souffle court et les mains tremblantes, elle composa mon numéro et me raconta toute l’histoire.
    
    — Ne t’inquiète pas, s’il a dit qu’il supprimait l’enregistrement et qu’il tirait un trait sur cette histoire, tout est donc rentré dans l’ordre.
    
    — Tu as raison mon chéri, vivement ce soir que l’on se retrouve.
    
    Comme tous les soirs, Elodie ...
    ... rentrait dans la ligne 1 du métro pour rentrer à notre domicile.
    
    Elle sentait que les regards des hommes avaient changé depuis cette opération d’augmentation mammaire.
    
    Il faut dire qu’en passant d’un 85 A à un 85 E, la silhouette de mon épouse avait bien changé.
    
    Elodie se tenait à la barre pour éviter de chuter, même si à cette heure de pointe la rame de métro était bondée. Perdue dans ses pensées, elle sentit soudainement que quelqu’un se collait de manière insistante à elle.
    
    Elodie n’osait se retourner et faisait mine de ne s’être rendu compte de rien. Elle baisse le regard et scrute ses chaussures. L’homme qui se trouvait derrière elle ne se contentait plus maintenant de se coller à elle, mais profitait des remous du métro pour littéralement se frotter.
    
    Elodie sentait clairement que l’individu commençait à avoir une érection mais décidait malgré tout de ne pas réagir. Après tout, elle était en sécurité au milieu de cette foule.
    
    Elle était si pudique qu’elle n’assumait pas le regard des hommes et considérait même qu’en ayant augmenté la taille de ses seins, elle ne pouvait s’en prendre qu’à elle si elle attirait les hommes encore plus qu’avant.
    
    La porte du métro s’ouvre et l’homme lui souffle à l’oreille :
    
    — Dommage que je sois déjà arrivé, j’aurais adoré continuer à frotter ma queue sur ton joli petit cul... t’es vraiment trop bonne...
    
    Elodie se retourne alors, et regarde fixement cet homme d’une cinquantaine d’années en costume-cravate descendre ...
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